Théo fait le point la section dans le RL....et j'en profite pour mettre en ligne un article sur les marins Algrangeois en 1991.

Effectifs en légère baisse, un comité rajeuni, l'UNC d'Algrange se veut optimiste quant à ses capacités d’action et de recrutement. La nécessité du devoir de mémoire entre les générations est un rouage essentiel.

Fidèle à sa devise « Unis comme au front », l’Union Nationale des Combattants section d’Algrange tiendra son assemblée générale ce dimanche 25 février, à 9 h 30, salle du socioculturel Ambroise-Croizat. En prélude à cette assemblée, nous faisons le point avec le président, Théodore Wagner.

Aujourd’hui, quelle est la raison d’être d’une section UNC ?

Théodore Wagner, président de l’UNC d’Algrange : « Elle reste axée sur le principe de mémoire. Nous nous faisons un devoir d’assister à toutes les commémorations patriotiques. L’UNC agit aussi pour le maintien du droit à réparation pour les anciens combattants. Elle mène une action sociale en faveur des anciens combattants les plus démunis et une action civique en rappelant le prix de la liberté et de la paix. »

De quelle façon vous engagez-vous pour le devoir de mémoire ? « J’estime que le devoir de mémoire est essentiel, surtout pour les générations qui n’ont pas connu le service militaire. Un devoir qu’il faut renforcer auprès des jeunes. Nous reconduisons les initiatives auprès des écoliers. Le devoir de mémoire peut s’exprimer à travers trois objectifs : célébrer, partager et transmettre. L’Éducation nationale, la Défense et les Anciens combattants jouent un rôle important autour de ces objectifs. »

Justement, comment faire adhérer les jeunes générations ?

« Nous rassemblons tous les combattants de toutes les générations, qu’ils soient Opex, Soldats de France, sapeurs-pompiers, militaires, gendarmes, policiers, secouristes ou sympathisants, tous sont les bienvenus dans notre grande famille. Notre rôle est de transmettre des valeurs entre générations et notre mission est de nous tourner vers elles. »

et quel exemple