la politique -de tout un peu... - Le blog de Denis Algrange

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19 février 2021 5 19 /02 /février /2021 11:08

SMITU et horaires des bus au 19 02 2021

Que dire....entre le horaires qui isolent encore plus Algrange et cette délégation dont finalement on en connait la suite.... LFI a présenté un contre projet.

Article de la Semaine:

Pays thionvillois : adieu TransFensch !

C’est le groupe Keolis qui reprend finalement la gestion de TransFensch, succédant à Transdev.

L’annonce tombe juste avant la mise en service du nouveau plan de circulation des transports urbains, lequel avait provoqué l’ire des usagers lors de la rentrée scolaire de septembre. Le comité syndical du Smitu a choisi Keolis à l’unanimité, lors de sa réunion mercredi soir. La SPL TransFensch va donc être dissolue. Les transports en commun gérés par le Smitu et qui concernent 35 communes avaient essuyé des protestations sans précédent en 2020, notamment lors de la mise en place d’un nouveau plan de circulation des cars. Les parents d’élèves s’étaient mobilisés pour réclamer une solution rapidement. L’ancien plan avait alors été ressorti des cartons en attendant d’adapter le nouveau pour un fonctionnement plus fluide. Le nouveau plan de transport sera mis en application dès le 22 février. Il tient d’ores et déjà compte du tracé du BHNS (Bus à Haut Niveau de Service) électrique qui entrera en service en 2026. C’est aussi cet aspect qui a intéressé les candidats à la succession de Transdev. Ils étaient quatre en lice : Marfina (transporteur espagnol), SADAP, une filiale du groupe Piot, Keolis et Transdev.

Après trois mois de négociations, c’est finalement le groupe Keolis qui a remporté le contrat (déjà présent dans le secteur puisqu’il est l’opérateur de Keolis Trois Frontières). C’est une délégation de service public assez courte puisqu’elle s’étale sur cinq ans, soit jusqu’au moment où le BHNS entrera en service. Autant dire que le repreneur de TransFensch devra être irréprochable. Comme le prévoit la loi, les 300 salariés de TransFensch conservent leur emploi et leurs conditions de travail.

Article du RL:

La France Insoumise présente son contre-projet de réseau de bus

Plusieurs mois de réflexion couchés sur 40 pages. La France Insoumise Moselle Nord a planché sur « un contre-projet alternatif à la politique catastrophique » du syndicat qui gère le réseau de bus du territoire. Une synthèse chiffrée, proposant à terme la gratuité pour les usagers.

« Malgré les difficultés à obtenir les données comptables de la société TransFensch et les informations nécessaires auprès du Smitu, notre projet est à présent finalisé et chiffré. » Ce contre-projet, signé la France Insoumise (FI) Nord Moselle, s’avance comme une possible alternative au nouveau réseau de bus de ville du Nord Moselle géré par le Syndicat Mixte des Transports Urbains Thionville Fensch, à l’origine de couacs à la rentrée 2020. Et à tout le moins, comme une base de travail en vue « d’un vrai débat ». « Il ne s’agit pas de tout détruire de l’acquis, plaide la FI, mais de répondre aux besoins réels de la population. »

Pour rappel, le 22 février prochain, les usagers découvriront la nouvelle mouture du réseau, revu après de nombreuses protestations remontées du terrain.

Porte-parole du groupement FI, Vincent Schweitzer et Jean-Luc Pierré déroulent en quelques points le fruit de la réflexion du collectif. Primo, instiller « plus de démocratie dans le Smitu, en finir avec les arrangements et redéfinir ses statuts ». Secundo, en finir avec la délégation de service public, instaurer une régie, sans participation du privé. Tertio, mieux desservir le territoire, principalement le Val de Fensch, mais aussi Guénange et l’axe remontant vers la frontière luxembourgeoise, via Hettange-Grande. Puis favoriser le bus et non plus la voiture, en dissociant le fonctionnement des dessertes en zone urbaine et rurale (bus à la demande avec des créneaux arrêtés), et en le rendant plus écologique. Et enfin, sanctuariser le transport scolaire.

La gratuité à terme

Les intentions sont là. Place à la réalité, notamment sur le financement. Le groupe de travail imagine une augmentation du versement transport, fonds alimenté par les entreprises. Une augmentation adossée à une plus juste répartition des participations financières des communes, soit en fonction du nombre d’habitants, soit en fonction du nombre de foyers fiscaux. Et avec à terme, la gratuité pour l’ensemble des usagers (en économisant sur la non-réalisation des ponts futurs et sur la fin de la billetterie). Une vision radicalement opposée à celle de l’actuelle assemblée.

le lien vers le projet complet de LFI:

https://fr.calameo.com/read/0041082321b9b91d5f3d6?fbclid=IwAR1E6RrIjdbMiU-o7VGvklABtfk97ZLHeqSdq2A7OizJ_iThH_-Pwej7bCY

SMITU et horaires des bus au 25 11 2020

Le feuilleton du SMITU transfensch continu...cela tient plus de la godille qu'un cap fiable.

ARticle du RL

Réunion du Smitu : les cinq infos à retenir

Après la marche arrière, marche avant… Parmi les dossiers examinés par le Smitu en comité syndical, le retour acté de l’ancien réseau au premier jour des vacances de février. Amendé dans les grandes largeurs, ce plan de circulation ne devrait pas lever de polémique cette fois.

Par Jean-Michel CAVALLI

1. Les communes de la CCCE ne ferment pas la porte

« Je prévois de m’entretenir avec le président Paquet la semaine prochaine. Ce soir, je vais donc m’abstenir d’évoquer ce sujet. Même si je trouve cette prise de compétence très légitime. » Roger Schreiber ne souhaite pas en dire plus. Mais il en a déjà trop dit. « Légitime » : le terme, employé par le président du Smitu pour qualifier les supposés désirs d’émancipation de la Communauté de communes de Cattenom et environs (CCCE) vis-à-vis du syndicat, planera sur ce comité syndical. Pour synthétiser, le retour récent d’une étude commandée par l’EPCI pourrait tendre vers une prise de la compétence « mobilité » par l’interco. Six communes dites isolées du territoire de la CCCE, desservies par le réseau Citéline, seraient concernées par la création d’un réseau de bus à l’échelle de la com’ com. L’emploi du conditionnel est volontaire, il doit nécessairement habiller cette option.

Avec gravité, émotion même, le maire Roland Balcerzak revient sur cette annonce « qui n’est pas une surprise. Le président Michel Paquet n’a fait que dévoiler les résultats d’une étude que nous menions depuis vingt-quatre mois […] Ce qui nous habite, c’est de mailler le milieu rural pour que plus aucune commune ne soit victime d’une absence de service ». Michel Hergat, le maire d’Entrange, ne va pas plus loin, lui aussi, dans les projections : « Notre position va dans l’intérêt de nos habitants. Nous sommes dans une logique constructive, notre volonté n’est pas de tout casser ». « Merci de dire que la porte n’est pas fermée », conclura Roger Schreiber.

2. Le financement de Citézen dévoilé

Citézen séduit de nouveaux financeurs. L’actualisation du plan de financement de ce projet de futur bus à haut niveau de service (BHNS), qui reliera en 2026 les agglomérations de Thionville et Hayange, introduit deux nouveaux prêteurs. Ce qui porte à quatre le nombre d’établissements bancaires susceptibles d’accompagner le Smitu dans son projet structurant : « Aujourd’hui, nous disposons donc d’une capacité d’emprunt de 160 M€ pour un reste à réaliser de 143 M€», comptabilise Pierre Tacconi. Preuve que ce BHNS, lesté d’une motorisation électrique, paraît lancé sur de bons rails.

3. Un geste commercial pour les usagers

« Une rentrée très agitée ». Doux euphémisme. En septembre dernier, le nouveau plan de circulation des bus de TransFensch avait levé un fort vent de contestation. Et entraîné, rapidement, la mise en sommeil de la nouvelle desserte et le retour au réseau de 2019. Histoire de solder ce mauvais souvenir, le Smitu, par la voix de Bernard Veinnant, propose un geste commercial aux usagers. Qui prend la forme d’un avoir de 10 % sur l’abonnement Pass S’cool : « Il faut simplement que les bénéficiaires le demandent ». Sans remettre en cause ce dispositif d’indemnisation, certaines voix dans l’assemblée ont réclamé que ce remboursement ne soit assujetti à aucune démarche des abonnés. Après un vote à main levée, c’est finalement la position initiale du Smitu qui l’emporte.

4. Le retour au réseau le 22 février

Marche arrière, marche avant … C’est officiel : le Smitu relancera, le 22 février prochain, son plan de circulation tant décrié à la rentrée. Pas de panique, toutefois : celui-ci devrait être profondément amendé. « Je rencontre actuellement tous les maires pour recaler ce plan », indique Bernard Veinnant.

Lequel rappelle l’incidence financière de cette refonte : « Pour que chaque commune puisse disposer d’une desserte minimum, il faudra nécessairement augmenter l’enveloppe des kilomètres. »

5. Une 3e voie vers le Luxembourg à l’étude

Rajouté à la hâte à l’ordre du jour par Roger Schreiber, un petit point loin d’être anodin.

Sur requête du préfet de Moselle, le président du Smitu est invité à s’intéresser à la création d’une troisième ligne vers le Luxembourg, en complément du BHNS : « Elle partirait de Thionville et passerait par Hettange, Kanfen, Volmerange-les-Mines, etc. » Sur le territoire de la CCCE, donc.

La voie de l’union avec les communes isolées n’est-elle pas toute trouvée ?

USAG’ThiFensch reste à la porte du Smitu…

Le ton est monté, lundi soir, à Veymerange. Huit membres de l’association USAG’ThiFensch, bien décidés à assister aux débats, se sont vus refuser l’accès à la réunion du Smitu. « C’était beaucoup trop serré pour les recevoir du point de vue du respect des distanciations sociales », justifie Roger Schreiber. Le président a toutefois autorisé Brigitte Vaïsse et Guy Harau à prendre place dans le public : « Madame Vaïsse est conseillère régionale en charge de la mobilité. Et monsieur Harau pouvait représenter cette association d’usagers ». Pas de quoi satisfaire Yan Rutili. Arguant qu’aucune mention ne spécifiait le huis clos de ce comité syndical, le président de l’USAG’ThiFensch a introduit un recours gracieux auprès du sous-préfet et un autre recours contentieux devant le juge administratif. La visée de ces actions ? « Pointer l’irrégularité de cette réunion et obtenir l’annulation des délibérations. »

Bus de ville : un comité syndical à enjeu ce lundi ?

De l’aveu de certains élus du syndicat qui gère le réseau de bus nord mosellan, la réunion de ce lundi 23 novembre s’avance comme majeure. L’avenir du transport collectif est en jeu. Avec son lot d’incertitudes : un consensus politique qui tarde à venir et un départ envisagé de certaines communes.

Les langues se délient (un peu) du côté des élus du Syndicat mixte des transports urbains Thionville-Fensch. Sous le masque, certains commencent à s’impatienter. Voire déchanter. Et espèrent mettre sur les rails, au plus vite, un avenir plus radieux pour le réseau de bus nord mosellan, en proie à des difficultés chroniques.

« Il faut mettre les choses à plat, et surtout faire avancer le collectif », souffle-t-on du côté de la Fensch. Une évidence, pense-t-on, mais il y a un contexte politique et financier qui bloque. Cette semaine, l’annonce du président de la Communauté de communes de Cattenom et environs (CCCE) d’envisager sérieusement la prise de compétence mobilité – comprendre que l’EPCI et ses six communes isolées adhérentes au Smitu souhaitent leur propre réseau de bus – a ajouté davantage de crispations.

Dans la configuration actuelle des choses, le moins « compliqué » va consister à mettre – à nouveau – la main à la poche, principalement les deux communautés d’agglomération Val de Fensch et Portes de France. La thématique sera évoquée ce lundi en comité syndical, lorsqu’il s’agira d’aborder les points 5, 6, 7 et 8 : participations des collectivités 2020, budget supplémentaire 2020 et plan de financement actualisé du projet Citézen (bus à haut niveau de service).

Tensions vives

Il sera en revanche a priori plus difficile de trouver un consensus politique. Les tensions sont vives. Certains choix stratégiques sont loin de faire pas l’unanimité. En sous-marin, des échanges agacent. Et peut-être que la réunion de ce lundi les mettra en exergue.

Au registre des bonnes nouvelles, il sera enfin question de « sanctuariser le service scolaire jusqu’à la fin juin 2021 », pour ne pas chambouler une nouvelle fois les élèves déboussolés par le nouveau réseau mis en place en septembre dernier et vite abandonné.

SMITU et horaires des bus au 22 09 2020

L'on revient aux anciens horaires, c'est mieux mais ce n'est pas parfait.

Par contre c'est hallucinant tous les politiques locaux etc etc qui revendiquent la paternité de ce retour en arrière.....honte à eux! La paternité vient de toux ceux qui ont fait entendre leur voix.

Retour à l'ancien réseau de bus dans le Thionvillois et la vallée de la Fensch

Nouveau rebondissement dans le feuilleton du Smitu, le syndicat mixte qui gère le réseau de bus du Thionvillois et de la vallée de la Fensch. Trois semaines après la mise en place de son nouveau réseau de bus, très critiqué, il décide de revenir en arrière.

Les critiques pleuvaient depuis trois semaines, et la mise en place du nouveau réseau de bus, dans le Thionvillois et la Vallée de la Fensch. Le Smitu, l'entité qui gère le réseau Citéline, a décidé de revenir à l'ancien réseau de bus, celui en vigueur avant le 1er septembre 2020.

Encore 3 semaines d'attente

Les usagers de Citéline vont devoir attendre encore un peu plus de trois semaines, avant de retrouver leur ancien réseau. Dès les vacances de la Toussaint, le 19 octobre, l'ancien réseau reprendra du service en mode "vacances". Et dès le 2 novembre, au retour des élèves dans les collèges et lycées, remise en service de l'ancien réseau avec les horaires "période scolaire", et avec les lignes dédiées aux établissements scolaires.

Pourquoi tant de temps ? Car on ne change pas un plan de transports en deux jours. Il faut réadapter les lignes de bus, rétablir les dessertes qui avaient été modifiées ou supprimées, que les conducteurs reprennent leurs anciennes habitudes.

C'est Michel Liebgott, le président de la Communauté d'agglomération du Val de Fensch et maire de Fameck, qui a annoncé, le premier, la nouvelle, via un communiqué de presse.

Problèmes non résolus

Si Michel Liebgott se félicite de cette décision, il estime que les problèmes ne sont pas résolus pour autant. "Depuis que je suis élu, j'entends que à la Trans Fensch, que ça va mal au Smitu, qu'il y a des déficits cumulés... J'ai redemandé au préfet de nous réunir à nouveau pour refaire un point précis sur les engagements que nous devons tenir par rapport aux dysfonctionnements graves sur le plan financier, et par rapport au BHNS, le bus du futur."

Car le nouveau réseau Citéline, entré en vigueur début septembre, visait à préparer l'arrivée, d'ici six à huit ans, d'un BHNS (Bus à Haut Niveau de Service) dans le nord mosellan. L'ensemble des lignes a été redessiné, certains arrêts supprimés, ce qui a entraîné une réelle pagaille, notamment pour les transports scolaires. Les critiques sont venues de toutes parts : des conducteurs de bus de la Trans Fensch, des élus des 35 communes concernées, et des usagers, qui se sont même constitués en association pour pouvoir être entendus.

Le Smitu avait promis des ajustements, des corrections rapides. Mais il y a encore quelques jours, il n'était pas question de revenir en arrière. Il décide cette fois se donner un peu de temps - peut-être un an, peut-être deux -, pour proposer un nouveau réseau plus cohérent et plus efficace.

Il faudra aussi se pencher, d'ici le printemps prochain, sur une éventuelle délégation de service public, avec une entreprise privée qui pourrait reprendre l'exploitation des bus. La décision doit être étudiée dans les prochaines semaines.

SMITU et horaires des bus au 29 08 2020

Bon rentrée 2020 c'est de nouveau le gros bordel sur les horaires des bus, tous les clans politiques d'Algrange "découvrent" le sujet et s'excitent mutuellement......jusqu'au prochains horaires. Disons le tout net, tous étaient plus ou moins au parfum du sujet et ceux qui jurent qu'ils n'y étaient pas ne s'intéressent pas à la vie de la ville mais plutôt à comment faire pour être "vizir à la place du vizir". Car ne l'oublions pas, tous ont des représentant de leur "clan" au conseil du SMITU.

Si vous remontez ce posts cela vous éclairera sur l'historique du sujet...édifiant !

En gros il y a une pétition (LIEN) qui dit:

Par la présente, je tiens à vous signaler mon mécontentement quant au nouveau plan de circulation adopté par la compagnie Citéline dont le SMITU est l’autorité régulatrice.

En effet, la suppression de différentes lignes, risque d’allonger considérablement les temps de trajet en direction de Thionville notamment, en favorisant des correspondances. À l’heure, où l’on parle d’écologie, où le Luxembourg ainsi que de plus en plus de villes en France appliquent la gratuité des transports pour favoriser des modes de déplacements collectifs, cette décision de supprimer les lignes directes va à l’encontre de l’histoire.

Le BHNS, censé fluidifier le réseau et réduire les temps de trajet ne verra malheureusement le jour que d’ici quelques années. Ces mesures vont, en attendant, compliquer considérablement la vie des usagers. Ceux qui le pourront, préféreront utiliser leurs voitures si leurs temps de trajets sont allongés.

De plus, cette décision est prise une nouvelle fois, pendant les vacances scolaires, sans concertation avec les usagers. À moins d’une semaine de son application, les horaires ne sont d’ailleurs toujours pas diffusés.

Nous vous demandons de revenir sur ces mesures et nous vous invitons à lancer une concertation au sein de la population pour connaitre les attentes des citoyens.

Article du RL qui effleure le sujet:

Citéline : perturbations annoncées dès la rentrée

la rentrée pourrait être perturbée sur le réseau de bus Citéline. Un préavis de grève a été déposé par les syndicats FO et CGT de la TransFensch, à compter du 1er et jusqu’au 4 septembre.

Les salariés dénoncent le blocage des salaires et un problème de gouvernance. Ils s’inquiètent également de la réorganisation du réseau qui sera mise en place mardi 1er septembre, « sans préparation.

Ce nouveau plan de transport, dévoilé il y a seulement quelques jours, est déjà très critiqué par les usagers. Plusieurs pétitions circulent notamment contre la suppression de lignes directes.

Peron, et donc son groupe indique:

BHNS...

Traduisez Bus à Haut Niveau de Service.

Voilà la priorité des dirigeants du Smitu qui gèrent Céline.

Et pour "offrir" ce haut niveau de service, ils ont trouvée méthode qui crée un profond mécontentement chez les usagers.

En effet, pour les dirigeants cela passe par des suppressions de lignes.

Ainsi pour Algrange, après la suppression du transport scolaire Algrange-Fameck, des bus les dimanches, c'est au tour les lignes 32 et 02.

A regarder les projets de ce BHNS, qui va coûter 220 millions €, ce sont surtout les villes de Thionville et celles autour qui vont en profiter.

Les usagers de ces communes vont gagner du temps de transport mais pour les autres, galère assurée et temps de trajet rallongé.

Ces décisions doivent être abonnées et revues pour assurer une égalité de transport pour les populations de toutes les communes.

Le personnel de Citeline annonce une mobilisation, il a raison.

Je vais interpeller les présidents du Smitu, des communautés d'agglomération et le sous préfet.

Le haut niveau de service ne doit pas se traduire par des suppressions de lignes !

Cerbai et son groupe indique:

Nouveau plan de circulation Citéline : une décision anti-démocratique à contre-courant de l’histoire.

Comme de nombreux citoyens, nous venons de prendre connaissance du nouveau plan de circulation proposé par Citéline. Ce plan, annoncé fin août pour une application au 1er septembre, entérine la suppression de nombreuses lignes directes pour privilégier des correspondantes avec des lignes dites « structurantes ». Le cadencement de ces lignes n’est à ce jour toujours pas annoncé (pour une application dans moins d’une semaine) mais ces mesures risquent d’allonger considérablement les temps de trajet, notamment pour notre ville en direction de Thionville.

A l’heure où l’on parle de réchauffement climatique, de préférer les transports collectifs, que de nombreuses villes en France instituent la gratuité des transports pour favoriser les transports en communs, le SMITU va dans le sens inverse en supprimant à nouveau des lignes. Rappelez-vous la suppression des lignes scolaires à la rentrée 2018.

Suite à ces décisions, de nombreuses personnes risquent de préférer emprunter leurs voitures et délaisseront le réseau Citéline. Voilà peut-être l’objectif caché, rendre le service moins rentable pour le laisser à la suite à une entreprise privée (M SCHREIBER, président du SMITU, avait déjà évoqué l’hypothèse d’une nouvelle délégation de service public lors du mandat précédent).

Contacté, Citéline, dit avoir réalisé ce nouveau plan en accord avec les élus locaux. Nous nous étonnons de ne pas avoir entendu parler de ces aménagements lors du conseil municipal, ni même avoir vu une réaction du maire les dénonçant. L’adage veut que « Qui ne dit mot, consent ! »

Nous avions proposé lors de la campagne notre volonté de créer au sein du Smitu, une commission composée d’usagers, organe consultatif permettant de recueillir leurs avis sur les nouvelles organisations. Le Smitu a fait le choix une nouvelle fois, avec l’accord du maire d’Algrange, de procéder en catimini contre le bon sens.

Adiamini et son groupe:

Pas de réaction (officielle) pour l'instant

ou l'on reparle du smitu...l'histoire sans fin.

Heureusement que le RL en cause un peu parce que les politiques sont plutôt muet sur le sujet....et pour cause !

Citéline : chez les usagers, la colère monte

L’histoire de Séverine est devenue tristement banale. Abonnée Citéline depuis vingt ans, cette usagère des transports en commun Thionville-Fensch dénonce une situation intenable. Retards, annulations et oublis d’arrêts se multiplient. L’exaspération gagne du terrain.

Cela fait vingt ans que Séverine ne se déplace qu’en bus. « Je n’ai pas de voiture par choix », indique la Yussoise. Depuis vingt ans donc, elle emprunte deux à trois fois par jour, du lundi au vendredi, la ligne 3 entre Yutz et Thionville. Elle paie un abonnement mensuel d’un montant de 35 euros en partie financé par son employeur. Tout roule ou presque…

Car depuis « trois ans environ », les perturbations s’accumulent sur la ligne 3. Elle dénonce des suppressions de dernière minute, retards, bus simples bondés aux heures de pointe, arrêts oubliés… « La première chose que je fais en me levant le matin est de regarder sur le site de Citéline si mon bus n’est pas supprimé. Je suis toujours dans l’incertitude. Je n’ai plus la garantie d’être à l’heure à mon travail ou de pouvoir rentrer chez moi le soir alors que je paie pour ça », regrette Séverine.

Mercredi dernier, son exaspération est encore montée d’un cran. Alors qu’elle attend son bus quai Crauser à Thionville, un premier autocar, celui de 19h26, passe devant l’arrêt sans même ralentir. « J’ai pourtant fait signe au chauffeur mais il a tracé sa route sans sourciller. J’ai attendu le suivant. Que pouvais-je faire d’autre ? »

« Un scandale »

« Dans l’intervalle, d’autres personnes m’ont rejoint à l’arrêt. 19h56, le bus (le dernier en direction de Yutz Actipôle) arrive. On fait signe au chauffeur, et là, il passe de nouveau sans s’arrêter. On a même couru derrière en agitant les bras… Il n’a rien vu ou rien voulu voir. »

Furieuse, et surtout inquiète de ne pouvoir rentrer chez elle autrement qu’à pied. Elle hèle un bus de la ligne 4, monte à bord, explique au chauffeur ce qui s’est passé et lui demande d’appeler un contrôleur. Il refuse. Le ton monte. Finalement, un représentant de Citéline arrive encadré de policiers. Séverine est très remontée et surtout vexée. « Je paie un service, je ne vole pas l’argent », se défend-elle. « Le lendemain, j’ai tenté de contacter Citéline pour les alerter sur le fait que régulièrement, les bus ne s’arrêtent pas. Il faut insister pour avoir quelqu’un. Chacune de mes tentatives, et ce depuis des mois, est restée lettre morte. Quant au remboursement promis, comme par hasard, il ne s’applique pas aux abonnements… Un scandale ! »

Nawel : « On achète des abonnements pour finir à pied »

Les usagers font part de leur colère sur les réseaux sociaux. Photo RL /Julio PELAEZ

Les perturbations ne sont pas l’apanage de certaines lignes mais touchent tous les secteurs. Les usagers à bout témoignent sur les réseaux sociaux. Si la colère prend souvent le pas, les problèmes et les dysfonctionnements sont réels. Témoignages.

Yolande : « Ce matin on a dû attendre 2h30 pour aller à Yutz »

Claire : « C’est de pire en pire la Citéline… plus d’une fois les bus passent et ne s’arrêtent pas alors que tu as une poussette et qu’il pleut »

Valérie : « 90 personnes en moyenne debout dans les bus qui ramènent nos enfants de Thionville tous les soirs et à toute heure, est-ce normal ? Et la sécurité dans tout ça ? »

Céline : « Encore une fois pas de bus ce matin à 7h31. Les enfants de Saint-Nicolas qui vont à pied au collège, c’est normal ça ? »

Jean-Yves : « Un bus par heure au lieu de trois auparavant… Inacceptable. Allez voir les lignes 10 et 14 qui débordent le soir de Thionville vers Hettange par exemple… »

Martine : « Il y a continuellement des perturbations, les jeunes n’ont pas de bus pour se rendre au collège. Les parents sont à bout… »

Mathieu : « Vos bus incapables d’être à l’heure, les correspondances qui n’attendent pas, impossible de vous joindre. Lamentable. Vous êtes de pire en pire. Vous recevez quantité de lynchages par jour, vous ne vous dites pas qu’à un moment donné il y a un souci quelque part ? »

Priscilla : « Encore une fois (en mode blasée), le bus 3 de 8h04 arrêt rocade vers Thionville n’est pas passé. »

Jordan : «… Je vous paye pour arriver en retard au travail malgré le fait que je prenne deux bus d’avance »

Joe : « Une fois de plus expliquez-nous comment font les lycéens qui habitent à Boulange pour revenir de Thionville ? »

Sandra : « Pas de bus, circuit non respecté, horaires non respectés, bus blindé, retards répétitifs… »

Nawel : « Le bus 1 ou 2 ne s’arrête que rarement à l’arrêt Culture pain. Il est plein. On achète des abonnements pour finir à pied. »

C. R.

AUTRE INFO

Une délégation de service public… pour voir

À l’ordre du jour de la réunion du comité du Smitu, l’autorité qui gère le réseau de bus nord mosellan, la proposition de recours à une délégation de service public pour la TransFensch. « Au cas où… » Une option au final adoptée, mais qui a été loin de faire l’unanimité.

Le Syndicat mixte des transports urbains Thionville Fensch (Smitu) va mieux. « Pour preuve, les banques estiment que le projet de Bus à haut niveau de service (BHNS) est finançable », abonde Bruno Sapin, vice-président du syndicat. La TransFensch aussi va mieux, même si ces bons résultats ne sont pas encore au niveau. « La santé de la TransFensch influe sur l’avenir du BHNS », confirme le maire de Yutz. Reste donc à savoir s’il convient, ou non, de changer le mode gestion, comme le point 3 inscrit à l’ordre du jour de la réunion du comité syndical pouvait le laisser entendre.

« On essaie de tout faire pour que le service public puisse perdurer »

Mis au parfum, une dizaine de représentants du personnel et autres syndicalistes sont venus assister aux débats, mercredi 23 octobre. « Je tiens à rassurer les délégués syndicaux présents ce soir », a tenu tout de suite à dédramatiser le président, Roger Schreiber. « On essaie de tout faire pour que le service public puisse perdurer. Mais je ne veux pas prendre de risques. Si on n’a pas assez de crédits, on ira tout droit vers un dépôt de bilan, des licenciements, etc. Mais on n’en est pas encore là. Aussi je propose qu’on lance la procédure de délégation de service public, qui est très longue (sept mois, NDLR). Après, on décidera d’attribuer ou pas, en fonction de la situation de la TransFensch et des résultats des offres. »

Errements précédents

Précisions que la délégation de service public est un contrat par lequel, une personne morale de droit public, confie la gestion d’un service public dont elle a la responsabilité, à un délégataire public ou privé, dont la rémunération est substantiellement liée au résultat de l’exploitation du service. Maire de Serémange-Erzange, Serge Jurczak, a avoué « ne pas bien comprendre pourquoi, à cinq mois des élections municipales, nous sommes appelés à revoir le mode de gestion de la TransFensch, qui connaît de bons résultats, même si le taux d’absentéisme a explosé. Le choix est donc de la maintenir en l’état, ou de concéder le réseau au privé. Je pense que c’est une erreur, que c’est prématuré ». « En deux ans de présidence, je ne peux assumer les errements précédents », a pour sa part argumenté Roger Schreiber, à propos du versement transport majoré (VT majoré) qui empoisonne la vie du syndicat depuis 2011. On parle quand même de 50 € qui devraient se retrouver dans les caisses et qu’il n’en est rien. « Des recherches pour responsabilités seront menées », promet-il d’ailleurs.

Trente voix pour et vingt abstentions

« La situation financière est dramatique et les collectivités n’auront pas les moyens d’apporter les fonds nécessaires », partage l’adjoint thionvillois aux finances, Jean-Marc Louis. « Lançons le processus de délégation de service public et examinons toutes les solutions qui se présenteront », propose-t-il. Trente voix l’ont suivi, vingt se sont abstenues. La première étape du projet Citézen concernant la restructuration du réseau devrait être effective à la rentrée 2020, le projet global ayant quant à lui été ramené à 2026.

O.M.

Algrange ligne de bus supprimée rentrée 2018 ? suite au 04 09 18

On entre dans l'ère du bricolage apparement...

article du RL

Algrange: la pétition grossit et le Smitu « ajuste »

La suppression d’une vingtaine de lignes scolaires passe mal dans la Vallée. Alors qu’une pétition appelant au rétablissement de ces bus circule, le Smitu fait le point sur la nouvelle organisation.

Pourquoi les lignes scolaires ont-elles été supprimées ?

Les problèmes financiers de la TransFensch, gestionnaire du réseau Citéline, ont conduit à « rationaliser le réseau » et à « chercher des pistes d’économies », synthétise Jérôme Barbé, vice-président du Smitu , en charge du transport et du réseau. En s’appuyant sur un constat : d’un côté un réseau urbain vide par endroits, de l’autre, des bus scolaires. « Un ajustement a été opéré pour éviter que les lignes régulières de Citéline ne tournent à vide. Nous avons donc été amenés à rabattre les scolaires sur les lignes urbaines régulières. »

Quels changements pour les scolaires ?

« Nous avons étudié la situation pour que les enfants soient impactés raisonnablement », assure Jérôme Barbé. Avec deux conditions que le Smitu s’est attaché, insiste le vice-président, à respecter : « Un horaire de départ qui ne soit pas décalé de plus de 10 minutes par rapport à l’horaire initial, et que cela ne rajoute qu’une seule correspondance par rapport au trajet précédent. »

Reste des points de crispation liés à « la configuration géographique du territoire » (par exemple : la ligne Rodemack-Ottange). « Les lycées sont dispatchés sur tout le territoire, l’organisation est parfois difficile à trouver », convient-on au Smitu.

Quelles mesures ?

Reste les aléas de la rentrée, avec des effectifs, — et donc, un taux de remplissage des bus –, pas toujours facile à anticiper. « On ne dit pas qu’il n’y aura pas de couacs, avance Jérôme Barbé, qui s’attend possiblement à des « turbulences ».

Pour pallier ce « flou » temporaire, des bus vides sont « en attente ». Ils seront immédiatement mis en service en cas de capacité insuffisante. « Nous allons procéder à une grande surveillance du réseau, assure Jérôme Barbé. Et évidemment, on ajustera au besoin. »

Pétition : et après ?

« Le service fonctionne, il n’y a pas lieu de revenir en arrière. » Selon le Smitu , une meilleure utilisation, voire connaissance, du réseau, pourrait permettre de lever certains problèmes : « Pourquoi prendre un bus à 6h26 pour se rendre au lycée de Fameck depuis Algrange (lire notre article du 01/09) alors que les usagers peuvent très bien monter dans celui de 7h02 ? La correspondance à Florange se fait « à vue », c’est-à-dire que le bus de la ligne 52 attend le bus de la ligne 2. En cas de très gros retard, un deuxième bus se met en place. Ce qui est rapide puisque l’arrêt est situé devant la Centrale de TransFensch. »

Les parents d’élèves verront à l’usage. En attendant, la pétition en ligne approche les 800 signatures.

Algrange ligne de bus supprimée rentrée 2018 ? suite au 02 09 18

Il y a ce qui se dit dans le journal et les grands discours...et puis il y a des échanges sur FB.....ou ce sont les mêmes(ou leurs représentants) qui ont voté les suppressions, en avril et juin des bus, qui disertent sur le sujet...

On apprend aussi que le préfet a indiqué que notre transport de bus est au bord du dépot de bilan.

Quelques morceaux choisi:

* à ce que je sache la décision de diminuer les kilomètres et multiplier temps trajets pour scolaires à la rentrée à été votée à quasiment la majorité des élus, il y a quelques mois! On a rien anticipé....la France était morte comme chaque année pendant les 2 mois d été....et on lève les bras au ciel en catastrophe à la rentrée via plein de réunions de "crises"...quand souci devant soi...

* ce sont les collectivités qui financent le Smitu et ce sont des élus qui y siègent. Donc il y a possibilité de faire pression pour ceux qui ont envie de défendre les usagers.

* je pense que beaucoup d’élus au Smitu se désintéressent de la question, ce qui semble confirmé par les articles dans le RL de ce matin. Ce journal est effrayant. On y parle des problèmes de bus, puis de la fermeture du guichet de la gare d’Hayange, et la menace de fermeture de la gare (13 usagers par jour !) puis des problèmes de train entre la France et le Luxembourg... en bref, la question des transports a de quoi faire grincer des dents en Moselle Nord... au risque que nous savons tous..!

* Ils s'y intéressent plus que tu ne le crois ........ Mais existe-t-il vraiment une solution pour satisfaire toutes les problématiques liées à la mobilité. Comment sauver une Spl calibrée pour un trafic qu'elle n'a plus ? Comment éviter des dégâts sociaux dans l'entreprise publique ? Comment développer un réseau sans moyens supplémentaires qui sont autant d'impôts potentiels ? Un ticket sans subvention publique serait impossible à régler pour la plupart des familles. Un peu comme les piscines 5,5€ un billet normal quand le coût réel est de 11€. Franchement c'est très complexe et les élus font ce qu'ils peuvent avec ce sujet des plus compliqué. Maintenant c'est vrai qu'il y a un problème de communication avec les usagers et sur ce point les élus doivent se fâcher ! Je précise également qu'une réunion d'information s'est tenue à la Cavf avant les vacances à la demande de son Président. Une nouvelle aura lieu vendredi et on tirera les conclusions.

* Les deux ponts concernent le BHNS à venir.(enquête publique en cours).la situation actuelle du SMITU et de la transfensch est un autre problème(le préfet et la direction des finances publiques nous ont rappelé qu’il fallait immédiatement redresser la situation,faute de quoi la société dépose son bilan...et il n’y a plus de bus.c’est dans ce contexte qu’il nous faut trouver des solutions pour le transport scolaire qui lui est absolument nécessaire.

La Transfench irai t elle droit dans le mur ?

ARTICLE DU RL DU 01 09 1018

Suppression de bus scolaires : « Ma fille fait plus d’heures qu’un ouvrier ! »

Debout 5 h 30, retour à la maison après 18 h. Voilà ce qui attend certains élèves de la Vallée de la Fensch. La raison ? La suppression de bus scolaires par le Smitu. Les parents sont en colère.

Un réveil programmé sur 5 h 30 et des paupières lourdes. Deux heures de trajet, encore ensommeillée, dans un bus chargé. Attendre sa correspondance jusqu’à 7 h 35 à Florange, à la Centrale, et arriver au lycée Saint-Exupéry, à Fameck, au moment où la sonnerie retentit. Puis seulement, commencer sa journée de cours. Le ventre vide « parce que se lever vingt minutes plus tôt pour un petit déj, c’est juste pas possible ». Depuis l’an dernier, c’est la routine de Sheraze, une Algrangeoise de 16 ans, suite à la suppression des bus scolaires dans plusieurs communes de la vallée de la Fensch, du Pays-Haut et d’une partie du Thionvillois.

La mesure, engagée par les élus du Smitu (syndicat mixte des transports de l’agglomération Thionville-Fensch) pour des raisons budgétaires, se durcit à l’occasion de la rentrée de septembre. Résultat : lundi, les élèves devront emprunter les lignes régulières pour aller à l’école. Et pour les parents, ça n’a rien d’anecdotique. « Les trajets sont interminables, les gens sont comme dans une boîte à sardines, avec au mieux, deux correspondances, tempête Nadia Diaf. Ma fille part à 6 h 39, elle rentre à 18 h 15. Elle fait plus d’heures qu’un ouvrier ! Après, il faut enchaîner avec les devoirs… Souvent, elle va se coucher sans manger. Elle est trop fatiguée. A mon sens, cette situation met nos enfants en danger, ça a clairement des répercussions sur leur hygiène de vie, leur hygiène mentale. »

Plus de 700 signatures

Shéraze, elle, soupire. Convient d’une extrême fatigue, raconte « les copains qui piquent du nez en classe », ceux qui « s’endorment dans le bus au risque de louper l’arrêt. ». Ce parcours du combattant, cette élève brillante qui intégrera une 1re S cette année, n’a d’autre choix que de l’accepter. « Je suis stressée pour lundi, souffle-t-elle. A ce rythme, je ne sais pas si j’arriverai à assumer la charge de travail en S, en section européenne en plus… Et encore, moi, je n’ai que deux changements de bus, d’autres, à Havange je crois, sont moins bien lotis… »

Les élus du Smitu ont été interpellés. « On nous dit qu’ils ne reviendront pas en arrière, déplore Nadia Diaf. Que les chauffeurs de bus signaleraient lorsque leur véhicule serait plein. Mais c’était déjà le cas l’an dernier ! J’ai vu des jeunes aller de Florange à Fameck à pied ! »

Une pétition a été lancée en ligne. Elle compte d’ores et déjà plus de 700 signatures. Le Parti ouvrier indépendant démocratique a relayé le message des parents d’élèves sur le marché de Hayange, jeudi. « On veut que les enfants réussissent mais tout ça vole en éclat parce qu’ici, ce sont ces problèmes de bus qui les empêchent d’avancer. Et on s’étonne de la baisse des résultats scolaires ? »

*Le Smitu n’a pas répondu à notre sollicitation.

Algrange ligne de bus supprimée rentrée 2018 ? suite au 10 08 18

Je met en ligne le texte d'une lycéenne Algrangeoise qui résume bien la situation....l'on peut dire que presque tout y est !

Nous payons un service qui ne nous ai pas rendu. L’année dernière le E02 a été supprimé, et pour une première année au lycée, cela rajoutait un stress. De plus, l’hiver, dans le froid, nous devions attendre pendant plus d’une heure à l’arrêt quand, souvent, le 2 venait en retard ou ne venait pas. Donc en plus de supprimer des lignes scolaires, les autres lignes ne sont pas toujours opérationnelles. Ensuite, les lignes de substitutions étaient déjà remplies, alors que va-t-il se passer dans cette situation?

Tout cela pour quoi? Faire des économies alors que nous payons.
Comme toujours, nous sommes prévenus de ce changement un mois avant la rentrée, alors que le vote a été fait il y a bien des mois.

Aucune communication avec les usagers, jusqu’à maintenant, de la part d’aucun élu siégeant au SMITU.

Nous subissons, au lieu d’agir.

Algrange ligne de bus supprimé ? suite au 08 08 18

Je vous passe le tableau des suppressions de ligne de bus pour la rentrée 2018....La ligne E02 c'est fini......aucun élu ne s'en est ému, faut dire que c'est eux qui dirige le SMITU/Transfench/Citéline !!!!!!!!!!! Il faut dire que ceux ci nous inondent d'infos sur leurs vacances au lieu d'agir pour garder des services publiques à la hauteur des attentes des concitoyens ......A chacun ses priorités !

Nota, en avril la réunion validant ces suppression avait lieu au smitu, les élus n'ont pas averti les usagers de ces suppressions même si certains n'ont pas voté pour ( mais sans alerter du sujet les concitoyens).

Une pétition est en ligne:

https://www.mesopinions.com/petition/enfants/suppression-lignes-scolaires-rentree-2018-2019/46689

Il est indiqué un questionnement sur le financement du smitu surtout si c'est pour construire des ponts à Thionville est il précisé....ML indique qu'il rediscutera le projet citezen car il semblerai que la prise en compte des demandes du VDF soit proportionnel à notre participation financière....on se ferait rouler dans la farine ?????

Conseil de communauté Val de Fensch 12 avril 18 Hopital et SMITU

Suppression et diminution des bus sur Algrange

L'article n'est pas exhaustif sur le sujet .

En complément il faut aussi savoir que le cadencement des lignes 01 et 02 deviendrait plus faible (1/2 h voire moins) en semaine et que la ligne 2 comme écrit serait quand à elle supprimé le dimanche.

Et il faut aussi savoir que lors de la mise en place de la ligne "CITEZEN" de nouvelle baisse de desserte seront à l'oeuvre...sachant que "CITEZEN" n'ira pas jusqu'à Algrange, la ville, les habitants seront presque plus isolés qu'un village en haute montagne.

#Algrange #smitu #transfensch

Suppression et diminution des bus sur Algrange

Algrange ligne de bus supprimé ? et les classes supprimées ? suite au 27 10 17

Article du RL sur le nouveau Président du SMITU...très intéressant à lire.

l'on y constate que tous ceux qui ont bombé du torse ces derniers temps en faisant des réunions, des pétitions, des déclarations...du vent en résumé ! Ils ne se sont même pas présentés comme candidat, pourtant avec tout le cinéma qu'ils nous ont fait en se présentant comme ceux qui savaient ce qu'il fallait faire c'était le moment d'en faire la démonstration !

Ils ont gagné le droit de la fermer sur la gestion du SMITU/Citéline/Transfensch....

Cerise sur le gâteau, certains qui avaient bombé le torse n'étaient même pas présent lors de ce vote....

L'article du RL en clair:

transports syndicat mixte des transports urbains thionville-fensch Roger Schreiber, un pilote qui a envie de rouler vite

Élu mardi soir président du Smitu avec deux tiers des voix de l’assemblée (32 voix sur 50 votants), le Thionvillois Roger Schreiber a conscience de l’immense chantier qui l’attend. « On y arrivera tous ensemble », martèle-t-il.

É tant donné que vous avez été le seul à postuler à la présidence du syndicat, permettez-nous de vous demander qu’est-ce qui vous a poussé à faire acte de candidature, pour ne pas dire, qu’êtes-vous donc allé faire dans cette galère ?

Roger SCHREIBER : « Je dois bien vous admettre que je n’étais pas franchement candidat et que je me serais volontiers effacé au profit d’un autre candidat issu de l’agglomération de Portes de France Thionville ou issu du Val de Fensch. Ce sont quand même les deux territoires qui sont les plus impactés. Or j’avais fait le tour avant la réunion et aucun ne voulait vraiment se lancer. De plus, comme depuis 18 mois j’occupe la présidence de la TransFensch, "on" m’avait clairement fait comprendre que je serais clairement l’homme de la situation. Surtout connaissant ma ligne de conduite apolitique. Et puis je dois bien reconnaître que j’ai une certaine idée du service public chevillée au corps. C’est mon truc ! »

Excusez-nous de reformuler la question mais il faut quand même être sacrément motivé pour accepter la présidence d’un syndicat plombé par des problèmes autant sociaux que financiers, non ?

« C’est vrai que la situation est mauvaise, voire très mauvaise. Actuellement, nous sommes en attente du rapport de la direction générale des finances publiques qui a fait une analyse, laquelle doit désormais être dans les mains du préfet. À la lecture de ce rapport, nous espérons avoir des pistes de redressement. »

Dans ces conditions, croyez-vous toujours à la concrétisation du projet Citézen, soit des lignes de bus à haut niveau de service ?

« Pour moi ce projet est sur les rails et il est réalisable. L’ensemble va coûter 140 M€, étalés sur dix ans. Notre obligation, c’est de démarrer fin 2019 au plus tard, sinon on perdrait les subventions dédiées de l’État. Je tiendrai ce timing. En ma qualité d’ex-ingénieur des travaux publics, j’ai au moins cet avantage de savoir lire un plan (rires). »

Comment concilier la présidence de la TransFensch et celle du Smitu ?

« Pour moi c’est inconcevable de cumuler les deux. Aussi, dès la semaine prochaine, je m’entretiendrai avec mes vice-présidents pour qu’on trouve une solution d’organisation. »

Le gros problème du Smitu reste la gestion de la TransFensch et son absentéisme record. Vous-même, dans votre bref discours d’intronisation, vous avez déclaré que vous serez sans doute amené à prendre des "décisions courageuses". P ouvez-vous nous préciser le fond de votre pensée ?

« J’entends prendre rapidement rendez-vous avec le directeur de la CPAM pour qu’il m’explique comment il est possible d’atteindre des taux d’absentéisme allant jusqu’à 30 % certains jours. Pourquoi les gens de la TransFensch seraient-ils plus malades qu’ailleurs ? Sans aller jusqu’à parler d’arrêts dits de complaisance, comment ne pas penser que certains sont en train de vouloir tuer cette boîte, qui a une vraie histoire dans notre territoire. La solution de facilité serait de confier le "bébé" à une délégation de service public. Les entreprises de transport spécialisées, ce n’est pas ce qu’il manque ici… Pour autant, ce n’est pas ma volonté. Moi, je veux juste que soit rendu le service que les usagers sont en droit d’attendre. »

Algrange ligne de bus supprimé ? et les classes supprimées ? suite au 13 10 17

Deux articles coup sur coup sur les dysfonctionnement de la Trans Fensch...

L'employé parle des politiques et le politique dit qu'il , je cite: " Et je refuse de perdre le contrôle. ". Pourquoi ? l'état serait peut être meilleur gestionnaire et le SMITU TransFensch géré plus logique.......et c'est là qu'il faut relire l'article sur le salarié de Trans Fensch.

article du 12 10 17

Transports : témoignage d’un salarié Trans Fensch : « Une situation insupportable »

Jean-Louis Hissette, 37 ans, est salarié chez Trans Fensch depuis dix ans. Il a décidé de prendre la parole, sans filtre, pour évoquer le mal-être dans l’entreprise. Et asséner quelques vérités au passage.

On a honte de dire que l’on travaille pour Trans Fensch. On trouve hallucinant que d’en être arrivé là. » Jean-Louis Hissette, 37 ans, fait partie de l’entreprise depuis dix ans. Il a aujourd’hui décidé de prendre la parole, sans filtre, et en tant que simple salarié, même pas en tant que représentant CFE-CGC. « La situation est devenue insupportable pour tout le monde. »

Derrière les dysfonctionnements sur les lignes du réseau se cache un mal-être grandissant chez les chauffeurs et les cadres administratifs. « Ceux qui bossent sont à bout. On travaille dans l’urgence permanente, à compenser les absences. »

« Ceux qui bossent en ont ras le bol »

Car tous les maux de Trans Fensch , ou presque, viennent de là : un taux d’absentéisme record, qui a atteint 30 % ces dernières semaines. « Il n’y a pas que des fainéants, certains salariés sont vraiment malades. Mais nous avons des accords d’entreprise, faits à la base pour protéger les salariés. Sauf qu’une partie, une petite minorité, a trop bien assimilé le système et en profite » , dénonce Jean-Louis Hissette. « Ces attitudes créent un cercle vicieux et ceux qui bossent en ont ras le bol. » Des propos qui ont le mérite d’être clairs. « Pourquoi la rentrée s’est si mal passée ? On a eu jusqu’à 65 absents par jour, 65 ! Comment on fait ? » , s’interroge celui qui est aujourd’hui adjoint au pôle management/sécurité. « Le problème est là et il faut le dire : trop de personnes n’agissent que dans leur propre intérêt et s’en foutent de comment avance l’entreprise. Certains passent leur temps à se demander comment ils pourraient toucher un chèque pour se barrer. C’est inacceptable. » Une partie des absences s’explique également selon lui par des raisons générationnelles : « Quand je suis arrivé en 2007, les conducteurs entraient parce qu’ils avaient envie de faire ce job, parce qu’ils l’aimaient. Maintenant pour beaucoup c’est juste alimentaire… »

« Prendre des décisions impopulaires »

Au-delà du coup de gueule, Jean-Louis Hissette souhaite témoigner de la souffrance que cette situation engendre chez la majorité du personnel Trans Fensch : « Nous sommes 330 salariés, dont plus des trois quarts bossent tous les jours. Tous ceux-là prennent pour les autres, encaissent, compensent. C’est vraiment usant. » Mais comment changer la donne ? « La direction doit avoir le courage de prendre des décisions impopulaires. »

Loin de charger sa direction, bien au contraire, le salarié tient à apporter d’autres interprétations pour expliquer les dysfonctionnements chroniques chez Trans Fensch , notamment en matière de gestion : « La direction générale devrait avoir les pleins pouvoirs, or aujourd’hui elle ne les a pas. De plus, certains élus du Smitu s’immiscent trop dans le fonctionnement de l’entreprise, alors qu’ils devraient davantage jouer leur rôle d’Autorité organisatrice de la mobilité durable (AOMD). » Selon lui, les nombreux changements de statuts et de présidents depuis 2011 ne favorisent pas non plus une grande stabilité.

« Nous sommes toujours en train de nous demander ce que nous allons devenir. Tout le monde est inquiet pour l’avenir et a conscience que l’on ne peut pas continuer comme ça » , conclut-il.

François PRADAYROL.

Dans la série on nous roule dans la farine...

voir même on nous prend pour des....

L'on connait tous les problèmes actuel avec les transports en commun Citéline transfensch.

A les écouter et lire l'on croirait que nos élus viennent de le découvrir.

Le dernier en date est le Président du Val de Fensch et Maire de Fameck qui se fend d'un texte alambiqué sur le sujet pour se dédouaner des responsabilités.

Il s'étonne des problèmes et demande à voir le Président du SMITU.

Il oubli juste de dire que les représentants du Val de Fensch ( donc les gens dont il est Président) sont les mêmes qui ont voté à la quasi unanimité la réduction des services de Citéline après quoi tous le monde gueule ! Le seul représentant du Val de Fensch qui a voté contre c'est Peron (qui a oublié d'en avertir la population à l'époque, mais bon, il courait après la députation c'est presque une excuse).

Donc en gros nos élus du Val de Fensch, représentant des communes, ont voté un truc sans en connaitre les conséquences...voir sans rien en connaitre du tout. Et maintenant ils vont tenter d'éteindre le feu qu'ils ont allumé.

Petite remarque supplémentaire ces mêmes élus siègent aux conseils municipaux, à la Communauté d'agglomération du Val de Fensch et au SMITU....à minima sans compter le reste comment dès lors faire les choses correctement !

Et après l'on s'étonne que l'on se détourne d'eux.

Dans la série on nous roule dans la farine...

Algrange ligne de bus supprimé ? et les classes supprimées ? suite au 27 09 17

Il vient d'y avoir une réunion sur le sujet dont voici l'article dans le RL.

Algrange ligne de bus supprimé ? et les classes supprimées ?

Depuis quelques jours le sujet sur la ligne de bus E02 occupe les esprits....alors que la décision date du 4 avril...pourquoi avoir attendu la rentrée scolaire pour en parler ??? C'est vrai que le 4 avril nous sommes en période électorale pour être député !!!!!!!!

J'aurai aimé un tintamarre identique sur les TROIS fermetures de classes sur Algrange ! Batzenthal/Lorraine/Wilson pour info, eh oui trois fermetures de classes et pas un mot d'élu, pas un mouvement de parent d'élève...bref pas de vagues.......presque une omerta.

Mais revenons au sujet, souvenons nous que la fermeture de cette ligne de bus était déjà à l'ordre du jour en 2014(article du journal ci après)....donc les élus (les mêmes) auraient dû être très vigilant sur le sujet pour que cela ne se répète pas ! Surtout que sur ce coup en plus d'être au courant ils ont participé au vote . Sans compter que le texte passé au vote à dû être longuement discuté avant.

Mais en 2017 voici la délibération sur le sujet de la suppression de la ligne E02, ou plutot des trajet du matin, ceux qui étaient présent/absent et les procurations.

Ci après le PPT complet de la présentation des modifications de lignes et avec les explications.

en attendant voici les deux articles du RL sur le sujet et quelques com d'élus sur FB (ou finalement parfois la langue de bois disparait).

Il faut noter aussi que la ligne ne disparait pas complétement comme on peut le constater sur le site ce CITELINE.

RL du 02/09/17

Lignes supprimées : le Smitu précise

Suite à sa décision de supprimer certaines lignes du réseau Citéline pour motifs économiques, le Smitu a essuyé les critiques de deux élus du territoire, à savoir Patrick Péron et Gaétan Cotica, respectivement maires d’Algrange et Boulange (lire notre édition d’hier).

Ces derniers ont fait savoir leur mécontentement après la suppression de la ligne 02 et 95, qui transportaient jusqu’alors les lycéens de leur commune jusqu’à l’établissement Saint-Exupery, à Fameck.

Le Smitu a tenu à apporter quelques précisions concernant ces suppressions et les réajustements opérés.

Dix-huit minutes de trajet en plus

Concernant Algrange, le syndicat affirme que la suppression de la ligne n’impacte les lycéens que le matin. En conséquence, ces derniers devront effectivement se lever huit minutes plus tôt le matin, et arriveront dix minutes plus tard au lycée, mais uniquement le matin. Ils ne perdront donc que dix-huit minutes par jour, et non trente-six comme nous l’indiquions.

Concernant Boulange, Jérôme Barbé, vice-président du Smitu, précise : « Il est totalement faux de dire que la mairie de Boulange n’a pas été prévenue. Toutes les modifications du réseau mises en place à cette rentrée scolaire ont été communiquées aux délégués syndicaux fin mars et votées lors du conseil syndical du 4 avril auquel MM. Iorio et Wanninger (qui représentent Boulange) étaient présents. Tout s’est fait en totale transparence. »

Le vice-président avance par ailleurs qu’il n’aurait pas été concevable d’avancer l’heure de départ de plus de dix minutes. À Boulange, les lycéens prendront le bus cinq minutes plus tard.

RL du 01/09/17

Val de Fensch : la suppression de lignes de bus scandalise les maires et parents d’élèves

Les problèmes économiques de la Transfensch ont contraint le Smitu à stopper l’exploitation de plusieurs lignes du réseau Citéline. Un choix préjudiciable pour les lycéens Algrangeois et Boulangeois qui vont devoir s’adapter. Les parents d’élèves fulminent.

Dès le début des vacances scolaires, le Smitu, le syndicat qui gère l’exploitation du réseau Citéline, avait prévenu : la situation économique plus que tendue de la Transfensch allait le contraindre à suspendre ou cesser définitivement l’exploitation de certaines lignes. Leur désignation, orientée sur les moins fréquentées du réseau, a été votée en assemblée en avril dernier.

Cinq mois plus tard, les conséquences de cette réorganisation se font déjà sentir. Se sentant lésés par la suppression des lignes empruntées par les lycéens de leur commune chaque matin, les maires d’Algrange et Boulange ont grossi les rangs des mécontents, composés de nombreux parents d’élèves.

36 minutes de trajet en plus par jour

À Algrange, la ligne 02, qui reliait directement la commune au lycée Saint-Exupery de Fameck, sera supprimée à compter du 4 septembre. Solution de rechange proposée par Transfensch et le Smitu : une ligne urbaine jusqu’à Florange, puis une correspondance jusqu’à Fameck à bord d’un bus à vocation scolaire. Huit minutes de sommeil en moins pour les lycéens, pour une arrivée dix minutes plus tard, soit 36 minutes de perdues chaque jour.

Même cas de figure à Boulange, où la ligne 95 n’a pas échappé au couperet. L’année dernière, les jeunes Boulangeois grimpaient à 6 h 59 dans un bus urbain qui les portait directement au lycée, après une petite halte à Fontoy où la ligne devenait à vocation scolaire. À la rentrée, ils devront prendre le car à 7 h, sur la ligne 96, descendre à Hayange à 7 h 30, puis prendre une correspondance à vocation scolaire à 7 h 33 pour arriver au lycée à 7 h 50. Dans un premier temps, un seul bus à 6 h 34 était prévu, mais le Smitu a fait marche arrière.

« C’est gênant cette histoire… »

« Nous sommes pris en otage, d’autant que nous n’avons pas été prévenus du changement. Nous ne pouvons pas laisser cette affaire comme ça », a réagi Gaëtan Cotica, maire de la commune, qui souhaiterait un retour à la situation initiale. « Pour l’instant, la solution proposée n’est pas du tout adaptée » , résume Marc Aubertin, un parent d’élève. « Au vu des pratiques antérieures du réseau Citéline, il est fort probable que cette correspondance ne soit pas assurée certains jours si le bus boulangeois a du retard. Les parents boulangeois et leurs enfants ne seront satisfaits que lorsqu’un aller direct Boulange-Lycée de Fameck sera remis en place » , poursuit-il.

Même son de cloche à Algrange où une pétition en ligne a été lancée par les parents d’élèves en faveur d’une autre proposition. Le maire Patrick Péron abonde dans leur sens. Lors de l’assemblée, il était l’un des rares à s’être opposé à cette réorganisation. Dans sa ville, 42 jeunes sont concernés. « Faire des économies, je suis d’accord, on peut tout regarder, mais on ne touche pas aux transports scolaires. On ne sait d’ailleurs pas quelles sont les économies concrètes. C’est gênant cette histoire… » Il plaide pour un bus commun aux communes de Knutange, Nilvange et Algrange. Le maire a prévu de rencontrer Jean-Marie Mizzon ce lundi. « S’il veut rétropédaler, il le peut encore. » Une façon de mettre la pression sur le président du Smitu, le jour de la rentrée.

RL du 01/09/2017

Jean-Marie Mizzon : « On doit faire face à des contraintes financières drastiques »

Le président du Smitu, Jean-Marie Mizzon, justifie la décision de supprimer des lignes par souci d’économie, et avec la volonté de pérenniser les emplois chez Transfensch.

La situation économique très fragile de Transfensch n’est un secret pour personne. Le climat social délétère qui y règne mine d’autant plus une entreprise qui doit composer avec des effectifs toujours plus limités. Depuis des mois, l’image de la société est écornée par ces problèmes récurrents. Une situation difficile sur laquelle s’appuie Jean-Marie Mizzon, le président du Smitu, pour justifier les choix de l’assemblée de supprimer certaines lignes à la rentrée.

« J’hérite d’une situation compliquée, on essaye de trouver des solutions acceptables pour tous » , explique-t-il. « Ma priorité, c’est de sauver les emplois » , poursuit-il. Pour y parvenir, le président entend s’attaquer à la seule marge de manœuvre dont il dispose : les coûts de fonctionnement. « On doit faire face à des contraintes financières drastiques. On ne peut pas continuer de la même façon. C’est un souci d’économie d’argent public. »

« Ce n’est pas de gaieté de cœur »

Cette année, les bus rouleront donc 400 000 km de moins, soit 1 million d’euros d’économie. Dans la balance, des lignes empruntées par les lycéens ont été supprimées. Jean-Marie Mizzon assume, et balaye les critiques dont il a fait l’objet : « Patrick Péron connaît la situation. À l’entendre, il est du côté des gentils, et moi des méchants. Je suis plutôt du côté des responsables. »

Sur les perturbations des lignes à vocation scolaire, le président du Smitu ne voit pas là un bouleversement majeur pour les lycéens : « Les adolescents n’auront que quelques mètres à marcher. Ceux d’Algrange arrivent dix minutes plus tard au lycée. Mais ce sont des lycéens, pas des enfants. On ne demanderait pas cet effort à des enfants de primaire. Ce n’est de toute façon pas simple d’organiser un transport scolaire quand on doit faire des économies. »

Il conclut : « Je regrette de devoir faire cela, ce n’est vraiment pas de gaieté de cœur… »

Sur FB Jean Marc Heyert répond à Patrick Peron...un instant magique sans langue de bois...ou peu !

J'admire le parcours politique de Patrick que je considère comme un ami de longue date! mais sur ce coup là, je suis désolé je n'adhère pas du tout à ses propos qui sont à mes yeux démago et irresponsable!!! Les comptes de la TransFensch et du SMITU (qui alimente en tant qu'AOT) sont en déficites de cette société. Patrick connait très bien la situation puisqu'il siège au SMITU. Il y a eu des réunions de travail tenu par des techniciens et des élus de toutes les tendances politique pour optimiser le transport! j'en profite pour saluer l'excellent travail de ces personnes, car ce ne sont pas des bouts de chandelles comme le dit Patrick! sauf si on regarde que pour Algrange! mais en tant qu'élu du SMITU, il sait très bien que se sont les 35 communes qui font cet effort! et comme 35 fois des bouts de chandelles ça fait une économie qui n'est pas négligeable au regard des comptes. Donc, que va t-il se passer pour les adolescents d'Algrange? ces jeunes vont descendre à la Centrale pour prendre un autre bus sur le trottoirs d'en face!! avec une correspondance assurée (le chauffeur ne part pas tant que les jeunes n'ont pas embarqué. Je ne vois pas ou Patrick sort ses 2x20mn! pour les intempéries version Germinal pour Patrick, il est de bon ton de vous préciser qu'à la Centrale il y a des abris des 2 côtés de la route donc pour la pluie il n'y aura pas de soucis et peut être moins qu'à l'embarquement puisque je ne sais pas s'il y a des abris à tout les arrêts d'Algrange!!! je tiens aussi à relativiser aussi sur ces jeunes qui sont des lycéens et non des gosses d'école primaire, ils ont entre 15 et 18 ans et lorsqu'ils se promènent le Samedi à Fameck ou dans le Linkling de Thionville, ils prennent différents bus sans le moindre soucis! Patrick se vante de jouer les Robin des bois de bac à sable au SMITU en votant contre avec la maire de Gandrange (qui lui à d'autres soucis) contre l'ensemble des élus toutes familles politique rassemblée!! je suis désolé, mais en Démocratie lorsqu'un vote fait 50 pour et 2 contre on peut légitiment se dire qu'il fallait passer par cette décision douloureuse certes, mais responsable au regard des indicateurs économiques. Je suis désolé de sortir de ma réserve, mais je ne supporte plus la démagogie et je suis ravi de raccrocher au terme de mon mandat. Fatigué, usé et voir agacé! place aux autres et aux plus malins.

Il existe aussi une pétition en ligne:

https://www.mesopinions.com/petition/enfants/retablissement-ligne-e02/33029

Pétition : Pour le rétablissement de la ligne E02

Enfants - Signez la pétition : Pour le rétablissement de la ligne E02

https://www.mesopinions.com/petition/enfants/retablissement-ligne-e02/33029

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Published by Denis - dans la politique -de tout un peu...
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21 décembre 2020 1 21 /12 /décembre /2020 08:13

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 21 12 2020

Un article sur le site de la paix et celui du presbytère.

Toujours surprenant car depuis quelques temps l'on nous indique qu'il n'y aurait plus de permis de construire sur Algrange suite aux problématiques d'assainissement .

Et là, l'on nous annonce plein de constructions, enfin plutôt l'on nous rerereannonce des constructions.

Mais par contre l'on nous indique jamais comment vont évoluer les accés à ces nouvelles constructions, Sainte Barbe/Cimetiére, Marie Douchet/Witten seront impactés pas ces nouvelles circulations ? Dans quelle mesure, selon quel volume, création de nouvelles chaussées, sens de circulations etc etc.

Cela aurait pu être indiqué lors des conseils municipaux...mais oppositions et majorité sont restées complétement muet sur le sujet préférant celui des branches, ampoules et couleur du ciel....

Il serait aussi intéressant de connaitre , même si il y a eu vente, le manque à gagner du fait des atermoiements de la promesse de vente précédente...je me souviens d'un conseil municipal ou nous avons assisté à quasi une déclaration d'amour entre l'ex acheteur et nos élus, qu'en est il aujourd'hui? Combien d'euro en manque à gagner la commune a eu ?

L'on pourrait disserter longtemps sur le sujet mais à mon avis l'on ne saura jamais. Cependant, à la louche de ce que j'ai lu et entendu l'on peut miser sur plus de 200 000 euros.

Quand au date, souvenez vous, la zac et le site de la Paix en 2014 (et avant) l'on nous disait déja "l'on commence les travaux demain"

en attendant voici l'article du RL

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 21 12 2020

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 19 09 2020

Déclaration de notre maire sur facebook...toujours à prendre avec des pincettes. Nouveauté, il indique maintenant c'est LIDL qui s'est opposé au déplacement du super U...mais peut être que c'est lui qui c'est opposé à l'implantation d'un LIDL à l'origine ?

En attendant, quid de ce qui se fera à l'emplacement du super U...déplacement des atelier municipaux ? Rien ?

En tout cas cela ne changera pas grand chose pour les Algrangeois dans l'absolu. Seul point vraiment positif, peut être quelques emplois en plus.

Qu'en sera t il de l’accès en bus et de assainissement ?

Texte du maire:

Rude bataille !

Le Super U a prévu de déménager sur le site de la paix. Le directeur souhaite transformer le magasin, le rendre plus accueillant, offrir de nouveaux services.
La commission départementale d'aménagement commercial, présidée par le sous préfet de Thionville représentant le préfet de Moselle, valide le projet.

C'était compter sans l'acharnement de LIDL qui dépose un recours pour s'opposer à ce déménagement.
Cette enseigne l'avait déjà fait il y a 3 ans avec succès.
Cette fois encore, c'est la Commission Nationale qui est saisie pour juger.

Je me suis rendu jeudi 17/09 à l'audience à Paris pour défendre le projet en compagnie du maire de Florange représentants la communauté d'agglomération du Val de Fensch, du directeur.

C'est d'abord au maire d'Algrange que le président de la commission a demandé de défendre le projet.
J'ai pu expliquer tout l'intérêt de ce nouveau Super U pour la population des 3 communes, Algrange, Nilvange, Knutange.
Le maire de Florange a poursuivi avec ses arguments qui completaient bien notre point de vue.
Les maires de Knutange et Nilvange ainsi que le député de la circonscription, avaient adressé un courrier de soutien au président de la commission.

Le jugement rendu vendredi matin, " favorable au projet de déménagements du Super U".
LIDL qui pourtant n'est pas concurrencé par le Super U a cette fois perdu cette bataille d'enseignes.
Les travaux vont pouvoir commencer enfin.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 31 08 2020

En passant sur le net j'ai vu cela......Réel ou pas ! On ne sait pas si les permis de construire pour le site de la mine de la Paix (à coté du Parc Communautaire) seront donnés mais déjà les appartements et les maisons sont en ventes..... je n'ai vu aucune référence à des logements pour le troisième age comme annoncé par nos politiques...wait and see !

Les maisons jumelées de 119m2 sont à 365000 euros (une paille) et les appartements entre 216000 et 320000 euros....

Mais pour l'instant faut vendre et il faut le permis....et soumettre enfin à niveau l’assainissement de notre ville.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 25 07 2020

Aucun mot sur le sujet lors de la campagne électorale...mais les permis de construire sont bloqués sur Algrange! Dont ceux de tous les projets annoncés pendant la campagne électorale alors qu'ils savaient que c'était bloqué !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais le sujet j'en avais déjà parlé plusieurs fois et là le couperet semble être tombé. Donc pour l'instant, la zac de la paix, le site de la Paix et tous les projets un peu dimensionnant (super U aussi probablement) seraient bloqués !

C'est pourtant pas faute d'être au courant depuis des lustres mais à force de fermer les yeux....

Le sujet était déjà sur la table du conseil municipal en 2010...voici10 ans et les protagonistes sont toujours les mêmes aujourd'hui.( LIEN 1 , LIEN 2 )

L'écologie et l'environnement commence déjà par le traitement de nos eaux usées...mais comme ce n'est pas, bling bling, visible rien n'a été fait !

l'article du RL

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 10 03 2020

Le super U va déménager et s'agrandir.....mais qu'en est t'il de l'ancien magasin...une nouvelle friche ? L'on parle de réutilisation pour des services publics, le mieux est d'attendre les news.

L'on voit aussi la plaine événementielle, après dessus c'est peut être le Val De Fensch Music Live vu que l'ensemble de l'aménagement de la ZAC est de responsabilité Val de Fensch.

Sinon j'adore les images de synthèse, manque quelques trucs dessus...amusez vous.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 15 12 2019

Les plans d'aménagement du site. Mais il semble qu'ils ne soient pas à jour...

Mais déjà des grandes lignes se dessinent:

- Pas d'école

- Pas de commerce supplémentaire en dehors du transfert du super U

- le nom des rues est déjà prévu

- il y aura des plans d'eau.

- toujours des questionnement sur les jardins rue des Américains

et pour le reste faite vous une opinion.

Ah j'oubliai, les ateliers municipaux disparaissent mais pour aller ou ?

J'ai déjà eu des réponses par une des listes aux municipales, attendont de voir ce que disent les autres.

Zac de la Paix : 14 locataires inquiets pour leurs terrains

une petite mise à jour avec l'imbroglio des terrains loués aux habitants rue des Américains.

Le plus étonnant dans cette affaire c'est que lors de la visite pédestre en 2016 le maire et ses adjoint étaient présent. L'on s'est même baladé à l'arrière de ces maisons et les élus ont fait état de ces constructions de garages et autres. Et aujourd'hui...POUF...Patrick Peron (notre maire ) indique...et la je suis mort de rire :" Je n’en savais rien. Ces constructions à l’arrière des maisons sont invisibles depuis la rue ".

Comme quoi la politique c'est l'art du mensonge.

Les habitants de la rue des Américains car sur un des plans (plus bas dans le post) l'on voit bien qu'à l'emplacement de leur "location" il y aura surement des habitations.

Allez, une vidéo de régivision ou l'on peut voir nos élus en train de regarder ces constructions et même les évoquer !

extrait du conseil municipal de 2013:

Point n°9 : PortantLocation de terrains communaux. Tarifs au 1er janvier 2014. Délibération : DCM2013-12-73 Vu le Code général des collectivités territoriales,Vu les baux de location de terrains communaux (Rue de la source, Rue du Witten, Rue des américains et rue Koenig) existants, dont l’échéance est fixée au 31 décembre 2013 ; Considérant qu’il y a lieu de fixer les montants de location ainsi que la durée des baux à intervenir, à compter du 1er janvier 2014 ; Considérant l’exposé de Madame MAZZERO, adjointe au maire chargé de l’urbanisme, Le conseil municipal, après avoir délibéré et à l'issue du vote suivant :Nombres d'élus : 29Votants (élus présents et pouvoirs) :26 Abstentions et nuls : 0 Exprimés : 26 Votes pour :26 Votes contre : 0 Décide, De fixer tels que repris dans le tableau joint en annexe les montants de la location des terrains communaux concernés ; Dit que les baux seront conclus pour une durée d’un an soit du 1er janvier au 31 décembre

allez l'article du RL

Zac de la Paix : 14 locataires inquiets pour leurs terrains

Rififi autour de la ZAC de la Paix. Depuis 15 ans, des habitants louent des terrains sur lesquels ils ont bâti garages et terrasses dans l’indifférence générale. Sauf que ces terrains se situent dans le périmètre de la ZAC sur laquelle vont pousser 450 logements. Ils craignent de devoir raser.

Les joies de l’urbanisme et de ses règles, ses normes, ses contraintes, ses particularismes… À Algrange, quatorze propriétaires de la rue des Américains, derrière la salle L’Etincelle, ont eu droit à un cours particulier ces dernières semaines.

Ces habitants ont tous en commun le fait de louer à faible coût des terrains de petites surfaces (un are en moyenne) derrière leur maison. Des baux sous la forme de conventions d’occupation temporaire des sols, signées il y a une quinzaine d’années passée avec la mairie, alors propriétaire des terrains. Sans que personne ne leur stipule quoi que ce soit, les riverains ont érigé des garages ou des terrasses sur ces parcelles.

Les choses se sont complexifiées lorsque la commune a cédé à la communauté d’agglomération du Val de Fensch ces mêmes terrains pour permettre l’aménagement de la ZAC de la Paix. D’ici quinze ans, 450 logements vont y être construits.

Un aménageur, la Société de développement et d’aménagement du bassin lorrain (Sodevam) doit présenter à la rentrée 2019 les plans détaillés du futur lotissement. Dans cette optique, les propriétaires de la rue des Américains craignent de devoir raser leurs constructions en vue de laisser place nette. La convention d’occupation prévoit en effet une remise en état du terrain avant leur rétrocession.

Ce que regrettent les locataires, c’est le refus qui leur a été opposé lorsqu’ils ont eux-mêmes émis le souhait d’acheter les terrains, il y a plusieurs années.

Une tempête dans un verre d’eau ?

« À l’époque, on nous a dit que personne ne pouvait acheter à cause d’une canalisation d’assainissement qui passe sous terre », explique l’un d’eux. D’autres s’offusquent de l’attitude indifférente de la commune, qui aurait sciemment laissé les locataires construire des éléments en dur sur leurs parcelles.

« Faux », répond Patrick Péron. Le maire d’Algrange affirme que la commune a été mise devant le fait accompli : « Je n’en savais rien. Ces constructions à l’arrière des maisons sont invisibles depuis la rue. »

Mais pour lui, cette affaire est une tempête dans un verre d’eau. « Une canalisation d’eau borde ces terrains. Donc la Sodevam va ajuster et aménager la ZAC à partir de celle-ci. Je n’ai pas de soucis avec ça. Je suis sûr qu’ils vont tous récupérer leurs terrains. »

En attendant, les habitants concernés de la rue des Américains seront exonérés de charges locatives durant toute l’année 2019.

Quant à la Sodevam, elle demande de la patience. « Il faut nous laisser travailler, nous verrons ensuite ce que l’on peut céder. Des géomètres passeront bientôt pour mieux connaître la typologie du terrain. » Les conclusions de son étude seront dévoilées aux locataires des terrains en septembre.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 17 03 2019

Ce dimanche un article du Républicain Lorrain sur la dépollution de la ZAC de la paix .

J'ajoute ensuite une vue générale du site avec les route et grosso modo ce qui sera fait. L'on s’aperçoit que des quartiers tranquille d'Algrange vont devenir beaucoup moins tranquille et que les route d’accès sont peu nombreuses. Il y en a qui vont avoir du passage devant chez eux.

Notons aussi que l'on passe de 547 logements à 470......et le nombre risque de diminuer encore.

Le Super augmente très peu sa surface , il ne fait que se déplacer afin de rendre homogène sa stratégie avec un produit d'appel de service pompes à essences et énergies. Mais que va devenir l'endroit que va quitter le superU, une nouvelle friche ?

Je place aussi une carte ou la notion d'enclave est indiquée...et aussi une conséquence potentielle sur la désertification des anciens logements d'Algrange. A terme , se pointe l'inquiétude que cet ajout de logement ne change pas fondamentalement le nombre d'habitant de la ville.

Je vous invite aussi à lirel'excellent article d'Errriiiiiiiiiic Marochini ou finalement nos visions se recoupent (si si c'est possible). Le seul gros point ou je suis en divergence c'est quand il est annoncé qu'il y a eu de nombreuses consultations de la population...

le lien pour lire l'analyse d'Errriiiiiicccc:

Regard géo-historique sur la difficile transformation des friches industrielles de la vallée de la Fensch : l’exemple de la reconversion en cours du site de l’usine sidérurgique intégrée SMK (1897-2018)

Zac de la Paix : la dépollution des sols a débuté

Le chantier de la Zac de la Paix se poursuit à Algrange. La phase de dépollution des sols durera encore trois ou quatre semaines. Pour éliminer les hydrocarbures, les ingénieurs utilisent une technique 100 % naturelle : le landfarming.

Quatre cent soixante-dix logements vont sortir de terre à Algrange, sur le site de la Paix. Dans les cartons de la communauté d’agglomération du Val de Fensch depuis vingt ans, ce projet d’extension urbaine à grande échelle (8,7M € d’investissement, 76 500 m² de terrains constructibles) est en phase de finalisation. La Sodevam, l’aménageur, dévoilera en septembre des plans plus détaillés du lotissement qui comprend des habitations et des commerces, notamment le Super U (5 000 m²) et une station essence.

Mais avant le premier coup de pioche, les normes imposent un nettoyage des sols souillés par les anciennes activités industrielles générées par la SMK (société métallurgique de Knutange).

À l’issue d’études poussées, une dernière poche de pollution a été localisée à l’arrière de la salle l’Étincelle, entre trois et six mètres sous la surface du sol. Elle présente des hydrocarbures et une concentration diffuse de certains métaux lourds. C’est la technique du landfarming qui a été choisie par le maître d’œuvre (société Burgeap) et l’entreprise de dépollution (Biogenie) pour nettoyer la zone. Une méthode éprouvée depuis vingt ans, d’après Jeremie Duval, responsable du pôle travaux de l’entreprise Biogenie.

Méthode 100 % naturelle

La méthode est 100 % naturelle. Elle consiste à étaler, sur une surface de 30 cm, les terres souillées extraites de leur cavité sur un sol imperméable, et à y ajouter des engrais naturels et des composts pour favoriser le développement bactérien. « Le brassage des terres apporte de l’oxygène. En y ajoutant des engrais naturels agricoles, on développe les micro-organismes et au bout d’un an, les hydrocarbures sont biodégradés », a expliqué Jeremie Duval au cours d’une réunion publique organisée mardi soir à l’Étincelle. Selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et le BRGM, le rendement de cette technique peut atteindre 90 % selon les conditions de mise en œuvre. Ces travaux dureront encore trois à quatre semaines. Par la suite, les logements seront construits sur un remblai de plusieurs centimètres par rapport au sol, afin d’écarter définitivement tout risque de contamination.

Extrait du site gouvernemental BASOL

Le site de l'ancienne usine sidérurgique de la Paix est implanté dans une zone péri-urbaine au confluent de la vallée de la Fensch et du ruisseau d'Algrange. Les terrains d'une superficie totale de 56 hectares, sont localisés sur les communes d'Algrange, Fontoy, Knutange et Nilvange.

L' activité industrielle a débuté sur ce site en 1896 par l'exploitation de trois hauts-fourneaux, puis par la construction d'une aciérie, de laminoirs, d'une fonderie, d'une agglomération de minerai, d'une cimenterie et d'installations annexes ( centrale à gaz, ateliers de maintenance,..). L'usine de la Paix était constituée de deux ensembles, l'usine du Haut pour la production de fonte et l'usine du Bas pour la production et la transformation de l'acier.

Le site s'est régulièrement développé jusque dans les années 60. En 1960 la SMK, Société Métallurgique de Knutange, produisait 765 000 tonnes d'aciers soit 7.5% de la production Française. Puis les installations furent progressivement arrêtées et démantelées sur une période s'étalant de 1971 à 1983.

A partir de 1979 des entreprises industrielles se sont installées dans les bâtiments délaissés de la sidérurgie.

A l’issue des principaux travaux de démantèlement du site, en 1988, l’Etablissement Public de la Métropole Lorraine, aujourd’hui nommé Etablissement Public Foncier de Lorraine (EPFL), a acquis le site auprès de la sidérurgie dans le cadre du programme régional de reconquête des friches industrielles de la sidérurgie lorraine. En 1995, les parcelles propriétés de l’EPML ont été cédées au SIAPAX (Syndicat Intercommunal du Site de la Paix), dissous en 1998 et remplacé par la Communauté d’Agglomération du Val de Fensch.

La Communauté d'Agglomération du Val de Fensch a créé en 2006 la ZAC de la Paix. Des projets d'aménagements sont en cours de définition sur ce secteur.

Description qualitative :
Les études réalisées sur le site ont mis en évidence la présence de goudrons dans les sols ainsi qu'une contamination diffuse des sols en métaux lourds notamment et des pollutions ponctuelles en hydrocarbures totaux et hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).

En 2006, deux spots de pollution en hydrocarbures ont été enlevés au droit des anciens laminoirs et à l’aplomb de l’ancien atelier mécanique des gros laminoirs. Les zones excavées ont été remblayées. Des contaminations résiduelles en hydrocarbures supérieures à 500 mg/kg en certains fonds et bords de fouille sont relevées.

Par ailleurs, le site est fortement contraints par des problématiques géotechniques du fait de secteurs fortement remblayés.

Les investigations complémentaires réalisées en 2014 par la collectivité locale dans le cadre de son projet d'aménagement ont mis en évidence :
- une contamination en métaux lourds (cuivre, plomb, manganèse, zinc et vanadium, ponctuellement mercure, chrome et chrome VI) sur les sols de toute la zone d’étude
- la présence de contaminations en polluants organiques (principalement HAP, HCT, et BTEX). Elles sont pour les plus concentrées essentiellement liées à la présence d’installations/canalisations/fosses ou à des contaminations issues d’anciennes activités pratiquées à des endroits précis sur le site. Néanmoins, on retrouve aussi des anomalies de ce type dans des remblais sans présence d’installation particulière.
- ponctuellement, des contaminations en certains composés spécifiques. Notamment, des traces de PCB, COHV sont parfois détectées en concentrations faibles à modérées.
- ponctuellement, la présence de traces de dioxine/furannes est identifiée au niveau des sols superficiels des zones de brûlage.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 01 11 2018

Et les routes traversant Algrange et ailleurs accepteront elles ce surplus de voitures ????? 450 logements ce n'est pas déjà le nombre de logements inoccupés sur Algrange ????
La ligne de bus "citézen" n'est pas prévu d'aller jusqu'à cette nouvelle zone et les lignes de bus existantes ont été réduites, à part la voiture ces nouveaux habitants n'auront pas trop de choix.
La population Algrangeoise n'a pas été concerté sur le sujet à part une simili réunion consistant une balade sur le site sans vraiment de réponse et une autre d'une heure consistant à empiler des cubes bleus. Dommage, le site sera recouvert de logements alors que ce n'était peut-être pas le choix des gens des villes environnantes.
Espérons que cela n’amène pas juste un transfert d'habitant.

Au final, il s'en passe des choses à 18 mois des municipales...il ne manque plus que la crèche ! Mais tout cela ne risque t-il pas d'être arrêté immédiatement après les municipales... en attendant de reprendre juste avant les suivantes ?

Le coût global n'aurait-il pas été mieux utilisé dans l'aide à la réfection/rénovation des logements insalubres de d'Algrange et de ses quartiers. Pas vu la trace d'une seule référence à un aspect social sur la description qui se résume à indiquer la création d'une cité dortoir pour ceux qui travaille au Luxembourg (cela indique déjà qu'y loger sera surement pas accessible à tous...). De plus ce ne sera plus un "Eco quartier" comme spécifié voici quelques années, l'info est un peu passé sous silence !

Il est aussi indiqué le déplacement du superU....mais quid de ce qui adviendra de l'ancien super U ? Il est indiqué que les écoles d'Algrange ont de la place ("nous avons des écoles vides...") , il suffit de regarder ou se trouve ces écoles pour se rendre compte que ça ne va être évident pour ces nouveaux habitants...et encore moins pour ceux qui sont déjà habitants dans Algrange.

Je laisse à d'autres le sois de continuer la liste alors que d'autres choix étaient possibles : mise en œuvre d'un grand plan d'eau avec des zones de détentes familiale. Aires de jeux et zones dédiées à la pêche sont possibles.
Des entreprises cherchant ce type de cadre de vie pourraient s’installer en périphérie.
Cela n’empêcherait pas la création d’environ 150 logements répartis sur l’ensemble de la ZAC .

Mais bon, le microcosme politique local a choisi la construction massive de logement alors que cette solution n’était peut-être pas le meilleur choix pour le futur du nord de la vallée.

Micheville a , pour exemple, choisi la construction d’un pôle culturel suivant une logique plus ouverte sur l’avenir.

Et pour finir….Algrange 6173 habitants (INSEE), l’on y ajoute 450 logements soit grosso modo 1400 habitants et actuellement UN SEUL MEDECIN pour tout le monde …..et à moyen court terme plus aucun ! Comme quoi il y a d’autres priorités que la construction de logement sur la ZAC de la Paix.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 21 06 2018

Une petite info avec quelques retards paru dans le magazine du val de Fensch.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch MaJ et site de la Paix Algrange centre 21 05 2018

Quelque infos concernant le projet qui doit se faire sur le site de la Paix (carreau mine de la Paix derrière le boulodrome couvert).

Cela apporte quelques réponses et parfois différentes des "voix officielles".

Site de la Paix aménagement par le Val de Fensch MaJ 10 02 2018

Ou l'on parle du site Sainte Barbe (derrière le boulodromme couvert)

En passant quelques infos dans l'article ci dessous. On y voit les dates....supposées ! Et pour le fameux quartier "Sainte Barbe" l'on y voit des barrières et des prix...faut être Crésus !!!!

Je mets l'ensemble des vues d'artiste concernant ce projet immobilier. On ne voit pas le reste de la ville ni l'encaissement de la ville, l'on doit être dans le domaine de l'imaginaire...par contre les prix semblent en dur. L'on est bien loin des "prix réduits" cités dans l'article du RL,

600 logements neufs près de Thionville et du Luxembourg

A l’ouest de Thionville, au nord de Florange et ses hauts fourneaux, mais surtout non loin du Luxembourg, Algrange veut accueillir de nouveaux habitants, d’où ce double-projet de 600 logements neufs. Présentation.

Direction la Moselle, tout près de Thionville et surtout du Luxembourg, Algrange souhaite attirer de nouveaux ménages et pour cela, deux sites et deux projets immobiliers vont voir le jour dans la commune. En tout, ce sont plus de 600 logements neufs qui doivent se construire sur le site de la mine Sainte-Barbe et la zone de la Paix.

Une centaine de logements neufs en préparation à la mine Sainte-Barbe

Le projet le plus abouti est celui de la mine Sainte-Barbe. Les permis de construire sont à l’étude. Il comprend une centaine de logements neufs, répartis dans de petits immeubles de six appartements neufs et des villas mitoyennes, au cœur d’espaces arborés. C’est l’architecte luxembourgeois Mario Brimmer qui a imaginé ce nouveau quartier afin d’attirer des frontaliers qui souhaite vivre dans un environnement de qualité et à un prix réduit.

547 logements neufs sur la zone de la Paix

Direction ensuite la zone de la Paix où la communauté d’agglomération du Val de Fensch porte un plus vaste projet immobilier. En effet, ce sont 547 logements neufs qui pourraient sortir de terre ici, sur cette friche entre Algrange et Nilvange. Le projet comportera 30 % de logements sociaux, des logements à louer, des logements en accession à la propriété, répartis dans de petits immeubles, mais aussi des terrains à bâtir pour permettre la construction de maisons neuves. La concrétisation de ce projet résidentiel sur la zone de la Paix est plus lointaine, puisque les appels d’offres ne seront lancés que d’ici 2019.

Site de la Paix aménagement par le Val de Fensch MaJ 02 12 2017

Comme annoncée voici 7 mois le projet est encore un peu repoussé et comme par hasard tombera en préalable des élections municipales....la ficelle est tellement grosse !

Super gros projet auquel l'on a dit que la population participera....du vent oui, l'on apprend dans le journal que tout est ficelé !

On aurait pu se dire qu'un projet pareil se devait d'être lié au transport en commun et plus particulièrement le super projet de CITEZEN du SMITU. Ben non, le projet n'ira pas jusque là. Pourtant cela aurait été intelligent ! En plus le projet étant porté par le VdF qui est aussi au SMITU cela m'interpelle vraiment ....

Quand on lit l'article l'on découvre aussi que le Maire d'Algrange fini par reconnaitre que la ville perd ses habitants (alors qu'il disait le contraire régulièrement...aveuglement ou autre ?) et finira par perdre ses services publics...enfin le peu qu'il reste, bref que la ville est en train de mourir! Cela fait juste dix ans qu'on lui dit de faire attention à ce sujet. Le réveil est tardif, trop tardif et l'équipe municipale en place n'a pas su gérer....

Pour sourire un peu (voir même rire), l'image de synthèse dont on se dit quelle est le reflet de ce qui se fera me plonge dans un abîme de perplexité....les panneaux solaire sur les toit des immeubles sont orientés à l'opposé du soleil (même en tenant compte de la course du soleil entre le matin et le soir)....moi ça me fait peur car des erreurs de ce type sur ce genre d'image fait penser à du bricolage.

Errriiiccccc commente aussi l'article, l'approche est différente.

Un très bon article de Olivier Simon ce matin dans le Républicain qui souligne bien à la fois les atouts et les handicaps de la transformation des tissus urbains denses et vieillissants de la vallée de la Fensch.

La ville d'Algrange entre dans cette catégorie de communes, comme Knutange et Nilvange d'ailleurs. Sur le ban de ces trois communes est d'ailleurs actuellement menée, par la Communauté d'agglomération du Val de Fensch et l'Etablissement Public Foncier de Lorraine, une étude de requalification des centres bourgs qui permettra de définir des priorités d'actions pour les ilots urbains existants. Il faut en effet augmenter l'offre de logements (ZAC de la Paix et espace Sainte-Barbe) et veiller à éviter une fracture territoriale avec les zones de bâti ancien.

L'aménagement de la zone de la Paix, mené selon une procédure de ZAC par la Communauté d'Agglomération du Val de Fensch, en lien avec les villes de Algrange et Nilvange, va en effet redonner du souffle à ce secteur de la vallée alors que les disponibilités foncières utilisables se raréfient et que la demande augmente significativement. L'important quant à cette reconquête de la friche industrielle de l'usine de la Paix fermée en 1983 est de réussir la couture urbaine avec l'existant. Les élus et les services du Val de Fensch, avec les communes, s'y attellent avec à l'esprit le souci du développement durable.

L'article du RL

Les plans sont dessinés, les élus semblent convaincus et les dossiers sont presque bouclés : Algrange, commune de 6356 âmes logées dans 2800 habitations, aspire à grandir, et vite si possible.

Il y a d’abord le projet de la zone de la Paix. Cette vaste friche qui sépare Algrange et Nilvange se comble progressivement et devrait connaître une transformation radicale en accueillant tout un quartier nouveau de 547 logements ! Vu de la mairie, ce projet porté par la communauté d’agglomération du Val de Fensch, est l’un des plus gros chantiers engagés depuis au moins dix ans à algrange. Les appels d’offres doivent être lancés courant 2019, mais il est déjà prévu de réaliser un ensemble d’habitations mixtes comprenant 30 % de logements sociaux, des biens destinés à alimenter le marché locatif et d’autres prévus pour l’accession à la propriété, avec des petits immeubles, donc des appartements, mais aussi des parcelles privatives pour y construire des pavillons individuels. « Nous sommes en déficit de population », observe le maire, Patrick Peron, qui mise sur ce projet pour redynamiser la courbe démographique locale. Il est vrai que l’habitat vieillissant du centre-ville peine à attirer de nouvelles populations, notamment celle des travailleurs frontaliers.

Rajeunir une population d’anciens mineurs

Les services municipaux estiment à environs quatre cent les logements inoccupés dans la commune. Une majeure partie de ces appartements sont devenus vétustes voire insalubres, et sont devenus quasiment inhabitables, faute de travaux de rénovation. « Tous nos quartiers sont habités par d’anciens mineurs », constate le maire, désireux de redynamiser la vie locale avec l’ouverture souhaitée de nouveaux commerces ou l’agrandissement de ceux déjà existants, à commencer par Super U dont le changement de locaux se précise. « Nous travaillons pour assurer l’avenir de notre cité , fait valoir Patrick Peron. Sinon, on le voit bien, nous risquons de perdre encore plus de services publics, des écoles ou même le bureau de poste. » Les professionnels croient au potentiel urbanistique d’Algrange.

En apparence, la ville semble mal vieillir et enclavée. Mais elle se trouve aussi à l’intersection dans la vallée de la Moselle et le plateau mosellan, à un jet de bouchon de l’A31. Et plus la pression immobilière s’intensifie dans le Nord mosellan, plus Algrange apparaît comme une destination intéressante. À condition toutefois de réussir à séduire des jeunes pour éviter de péricliter.

Un environnement de qualité à prix réduits

Le second projet devrait également participer à cette revitalisation, cette fois-ci localisé à la mine Sainte-Barbe. Il comprend également tout un ensemble immobilier d’une centaine de logements. Il devrait être réalisé plus rapidement car il en est au dépôt du permis de construire. Cette fois-ci, l’opération est à mettre au crédit d’un promoteur luxembourgeois qui mise sur de petites unités de six appartements et des pavillons mitoyens implantés dans un espace arboré.

Selon l’architecte Mario Brimmer : « Algrange détient un évident potentiel urbanistique. Si proche du Grand-Duché, le site permet aux frontaliers de vivre chez eux, dans un environnement de qualité et a prix réduit. Je pense que dans l’avenir, Algrange peut devenir un lieu où il fait bon vivre. »

ZAC de la Paix....

une petite vidéo de France Télévision envoyé spécial

Maisons écolos : gare au fiasco !

Malfaçons, matériaux de mauvaise qualité, isolation défaillante, construction sur des sols pollués... "Envoyé spécial" a enquêté sur les dessous pas toujours reluisants de l’habitat écologique.

C’est le rêve de milliers de propriétaires : une maison écolo, économe en énergie, bâtie avec des matériaux durables, dans un quartier riche en espaces verts, jardins partagés, voies piétonnes et pistes cyclables...

Depuis une dizaine d’années, les écoquartiers fleurissent partout en France. Ces nouveaux quartiers, censés être exemplaires en matière de protection de l’environnement, font aussi les beaux jours des industriels du bâtiment et des promoteurs immobiliers, en créant de nouveaux marchés pour la construction.

Un rêve qui tourne parfois au cauchemar

Mais derrière l’objectif affiché, ces quartiers modèles révèlent parfois une tout autre réalité. Malfaçons, matériaux de mauvaise qualité ou, pire, isolation défaillante qui transforme les habitations en véritables passoires thermiques… De nombreux écoquartiers sont loin de tenir leurs promesses.

Plus grave, beaucoup sont même construits sur d’anciennes friches industrielles polluées. Et les habitants priés d’éviter d’utiliser le jardin potager collectif ! Quand l’idéal de la maison durable se transforme en cauchemar… Enquête sur les dessous de l’habitat écologique.

Site de la Paix aménagement par le Val de Fensch MaJ 05 05 2017

Le Miscanthus est planté en espérant que cette plante dépollue bien les sols.

MaJ du 16/09/2016

Une info parue dans la revue du Val de Fensch.....je vous passe sur la "concertation publique" qui a consisté en de visite de 1h30 et un empilage de cube bleu pendant aussi 1h30....bref, en langage courant....du foutage de gueule leur concertation qui ne sert qu'a se couvrir politiquement des erreurs en disant "on vous a consulté".

L'on constate que c'est le Val de Fensch qui suppléera à l'incurie de notre majorité municipale Algrangeoise en terme de maison médicalisé ou tout simplement de couverture médicale !

L'on parle encore du "nouveau super U" et de cellules commerciales....histoire de finir de flinguer les derniers petits commerces du secteurs !

La partie " plaine évènementielle" annonce clairement une mutualisation des moyens ! et aussi l'impossibilité de construire sur cette zone.

Bref, une énième évolution du projet qui prendra de l'ampleur en préalable au prochaines élections municipales et de l'agglo.....qui seront théoriquement séparés !

Mais félicitons nous qu'a terme cette zone n'en sera plus une ;-))

MAJ 21/03/2016

Algrange opposition s'est fourni le dossier d'étude environnementale de la Zone de la Paix. La conclusion du dossier indique la démarche à suivre pour aménager le site "ZAC de la Paix".

Le coût de cette démarche de "dépollution" est d'ailleurs connu depuis 2013.

Coûts prévisionnel en 2013 .

Conclusion du dossier d'étude environnementale de la Zone de la Paix.

MAJ 08/02/2016

Ce samedi il y a eu une réunion au boulodrome couvert ou l'on à invité les présents à s'imaginer le futur de la ZAC de La Paix avec des sortes de légos bleu.... je n'y ai pas participé ! Mais au vu de écrits sur le sujets j'ai comme l'impression d'un enfumage généralisé cherchant à faire croire que les habitants décident alors que ceux qui y ont participé sont quasi que des politiques !

Cependant, il est clair que le gros de l'aménagement est déja bien décidé depuis longtemps. Ci après un article de l'AEU et , oh miracle, c'est ce qui se passe aujourd'hui (article de 2013).

J'en profite pour mettre à la suite l'aménagement tel que phosphoré depuis longtemps (2012).

L'endroit complétement inconstructible n'est pas encore représenté !

J'en profite pour vous indiquer ce lien ou en 2009 je faisais un article sur la ZAC de La Paix...et maintenant on y est !!!!!

ZAC DE LA PAIX

j'en profite pour mettre en copie ce rapport de la cours des compte de 2005 qui fait état de la ZAC de la Paix. La dernière phrase résume bien l'ambiance de l'époque .

6.1.1.3. La ZAC du site de la Paix La ZAC de la Paix est une zone d'aménagement à caractère industriel et artisanal. Certains bâtiments industriels implantés sur cette zone font l'objet de conventions de location. C'est ainsi qu'on y relève entre autres la présence des entreprises comme ASE (Assistance services aux entreprises), Cablest, Les amitiés tziganes, Procener (équipements thermiques), Serafino ambulances et TVF (Transport de la vallée de Fensch). D'autres bâtiments ont été cédés aux entreprises implantées. Ainsi en juin 2003, une délibération du conseil a autorisé la vente d'un bâtiment relais à la SARL HIPPERT pour un montant de 152 000 euros. Les résultats de cette opération sont bénéficiaires depuis l'année 2003 et ils sont retracés dans le tableau ci-après (2000 à 2003). A l'origine, la ZAC de la Paix était gérée par le SIAPAX (Syndicat intercommunal d'aménagement du site de la Paix) créé en 1988 et dissout le 31 décembre 1999 après sa reprise par la communauté, à laquelle adhérent les communes d'Algrange, Knutange et Nilvange. Toutefois, après la dissolution du syndicat devait intervenir une partition entre la communauté et la commune de Fontoy. Par convention du 6 décembre 2000, afin de permettre l'aménagement du site de la Paix sans provoquer cette partition définitive, il a été convenu la prise en charge proportionnelle par la commune de Fontoy des frais de fonctionnement au titre des exercices 2000 et 2001. Cette prise en charge a été évaluée pour 2000 à un montant de 35 520F (5 415euros). Par avenant du 13 décembre 2001 et du fait de la non adhésion de la commune de Fontoy à la communauté, il a été décidé que soit nommé par le préfet un liquidateur afin d'acter la partition de cette ZAC au 1er janvier 2002. Il apparaît toutefois qu'à ce jour la partition de la ZAC n'est pas encore intervenue. Selon son Président, la Communauté d'Agglomération du Val de Fensch a, effectué l'ensemble des démarches nécessaires à la partition et relance très régulièrement depuis deux ans le liquidateur nommé par le préfet de la Moselle, lequel a d'ailleurs été informé par courrier à plusieurs reprises du non avancement de ce dossier. Le maire de Fontoy est, quant à lui, toujours dans l'attente du rapport du liquidateur et a fait prendre à son Conseil municipal du 27 octobre 2004 une décision autorisant la procédure de liquidation définitive du SIAPAX Toutefois, le 15 mars 2004, un protocole d'étude (évaluation détaillée des risques) était signé entre la communauté d'agglomération, la commune de Fontoy et l'EPFL étant entendu que " le Val de Fensch et la commune souhaitent donner un second souffle à la ZAC de la paix qui n'a, en dix ans, jamais trouvé de réelle vocation ". Le Comité Régional d'Aménagement du Territoire (CRAT), lors de sa séance du 27 Janvier 2003, a décidé de la réalisation d'un diagnostic approfondi et d'une évaluation détaillée des risques sur le site de la Paix. Le montant de l'étude menée par l'EPFL est pris en charge par le CRAT. L'étude détaillée des risques ainsi menée a montré l'existence de poches de pollution importante à plusieurs endroits de la ZAC ce qui constitue une contrainte supplémentaire pour l'aménagement de cette zone Cependant, à l'heure actuelle, et en raison du refus de la commune de Fontoy de participer à l'aménagement de cette zone, un cabinet spécialisé a été mandaté par la Communauté d'agglomération afin de mener à terme la révision de la ZAC et d'arrêter définitivement les choix d'aménagements retenus par les élus de la Communauté d'Agglomération. Il apparaît ainsi que de mai 2001 à mars 2004, la situation de la ZAC n'a guère progressé, passant en réalité d'un projet d'études à un autre.

MAJ du 26/01/2016

Article du RL sur miscanthus x giganteus pour complément d'information.

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MAJ 25/01/2016

Visite de la ZAC de la Paix avec le Val de Fensch une cinquantaine de personnes (avec les politiques et leurs proches , les représentants du VDF et les employés des communes ).

Quelques informations malgré le fait que rien n'est arrêté sur les futurs travaux (ni date, ni plan)

il y a quelques bases ou plutôt incontournables sur l'aménagement du site.

- Il y aura une rue centrale qui fera la longueur du site.

- les logements pour les gens du voyage seront derrière le SuperU quand il aura déménagé( en gros entre le super u et l'aire Lola Flores).

- Le super U avec les quelques magasins qui suivront formeront un espace clos "de vie".

- Il est dit que le permis de construire du nouveau super U est en cours d'instruction.

- les immeubles seront au maximum de 2 étages (rdc , 1er et 2 éme), la structure du sol ne pouvant accepter plus.

- Il aura des maisons avec des jardins.

- il doit y avoir des liaisons "douces avec les trois villes.

- Il est fait état d'implantation de services mais sans précision supplémentaire.

- ce sera un "éco quartier".

Sinon pour le reste:

- Concernant la pollution, la répartition n'est pas uniforme, des zones semblent quasi indemne de pollution. En fonction de la pollution le type d'habitat sera adapté. Et à certains endroits ou le traitement ne peux être total il y aura soit du parking, soit du parc.

- La zone la plus polluée sera traitée de manière expérimentale avec une plante ""Miscanthus X Giganteus" dont il y a eu de nombreuses expérimentions extrêmement positives mais sur des surfaces réduites (google vous aidera à trouver...mais c'est en anglais). Là, en relation avec des universitaires, l'expérimentation se fera à une échelle de 2 hectares.

- Le pont bleu , un pont abandonné de la SMK semble inspirer fortement le cabinet d'urbanime "Orbas".

Une autre réunion est prévue début février.

Pour ma part, je constate que finalement peu d'info technique complémentaire concernant la ZAC de la paix mais celles ci furent claires.

Par contre en regardant mieux l'on constate que les trois villes Nilvange , Algrange et Knutange souhaitent que ça avance. Dommage que le maire d'Algrange ai confondu cette visite avec un meeting électoral.

Le maire de Knutange a clairement annoncé qu'il n'y aurait pas de route ouverte aux voitures entre le parc de la Rotonde et la ZAC de la Paix. Indiquant pour appuyer son affirmation qu'un parc traversé par des voitures...n'est plus un parc ! je suis en phase avec lui sur le sujet.

Quand l'on regarde mieux la zone d'étude l'on s’aperçoit que tout le devant de l'Etincelle jusqu'au nouvel immeuble est inclus dedans. Est ce que cela veut dire que tout cela sera aussi repris par des travaux (route / parking/ rondpoint). c'est un sujet intéressant car il touche une zone déjà urbanisée.

L'on apprend que la mise en sens unique de la rue des américains semble incontournable.

Le cabinet d'aménagement ORBAS n'a pas indiqué de création d'école ou autre, les politiques si ! Cela sera t il le chant du cygne pour l'école Wilson ????

Pour le moment le volume supplémentaire de véhicule devant traverser les villes ne semble pas avoir été abordé.

J’applaudis la volonté de traiter la pollution avec des méthodes écologiques tel que la "Miscanthus X Giganteus". Que ce soit géré par des universitaires afin de faire progresser cette technique prometteuse et à appuyer. Tous les progrès techniques passent toujours par des phases d’expérimentation et la l'on peut apporter notre pierre à ce progrès.

Sinon la promenade fut sympa, bien que connue, et m'a permit d'échanger de manière fort instructive avec le représentant du cabinet et d'autres personnes bien au parfum du sujet.

Il y a du travail pour définir finalement ce que doit être cette ZAC de La PAIX et la méthode pour y parvenir.

En jaune la limite de ce qui est concerné par le projet, regardé du coté de l'Etincelle, des ateliers municipaux, du pont bleu et des jardins de la rue des Américains.

Quelques photos de la visite et de votre serviteur lors de l'exposé à l'Etincelle.

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Michel Liebgott président du Val de Fensch s'exprime sur le Site de la Paix:

L'aménagement de la zone de la Paix qui couvre 3 communes (Algrange, Nilvange, Knutange) va enfin, et je m'en félicite, pouvoir prendre son envol au terme d'une procédure de concertation avec les populations concernées qui débute et qui doit permettre de construire un projet partagé et accepté par tous. Cet espace constituera un point fort du développement territorial du Val de Fensch en particulier grâce à la réalisation d'un écoquartier dans la partie nord du site (objectif de 500 logements très diversifiés), d'un lotissement adapté dans la partie sud, d'une réorganisation des fonctions, du transfert du Super U ou, entre autres, de secteurs paysagers de très grande qualité (place urbaine centrale, expérience de plantation de Miscanthus Giganteus (plante permettant de neutraliser les pollutions du sol)...)
Avec les maires des 3 villes, Patrick Peron, Moreno Brizzi et Fabrice Cerbai, et grâce à des décisions récentes et courageuses (lotissement adapté pour les sédentaires sur site et nouveaux programmes de démolition de la plateforme Wavin pour accueillir le transfert du Super U par exemple), nous faisons le pari de l'économie résidentielle pour cet espace qui regorge d'atouts (position par rapport au GDL, accessibilité, écrin de verdure environnant, proximité de nombreux services publics (pour la petite enfance ou dans les domaines culturels avec le Gueulard + et la médiathèque de Nilvange), d'une zone commerciale amenée à se développer ...). Bref, nous voulons réussir la transformation de cet espace chargé d'histoire mais aussi plein d'avenir, un lieu que je crois résolument attractif. Michel Liebgott

Il ajoute et là il faut lire entre les lignes....

Je tiens à remercier aussi tout particulièrement mes vice présidents Jean pierre Cerbai qui a en,quelques mois,établi des relations de confiance avec les nomades sédentarisés permettant d'envisager leur déménagement(alors que la situation traînait depuis largement plus de 20 ans)et Jean François Medves pour son suivi extrêmement attentif du fonctionnement de la déchèterie.sans cela rien ne serait possible.

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08/01/2016

Le Val de Fensch continu l'aménagement du site de la Paix commencé depuis début 2000. Le Val de Fensch va présenter le projet aux habitants en s'appuyant sur les communes.

Le Val de Fensch organisera une visite commenté du site ainsi qu'un atelier de reflexion sur l'aménagement du site.

L’industrie a laissé des traces tenaces… » Trente ans après la démolition des usines sidérurgiques de la SMK (Société Métallurgique de Knutange) l’aménagement des dizaines d’hectares de friches industrielles laissées entre Algrange et Nilvange avance enfin.

La méconnaissance des sols et des sous-sols –pollués et parcourus de fosses et de galeries laissées en plan – avaient, jusqu’alors, bloqué tous les projets d’aménagements imaginés pour ce vaste secteur. Une ultime étude de faisabilité géotechnique et une étude environnementale menées entre 2009 et 2014 permettent désormais à la communauté d’agglomération du Val de Fensch de lancer une procédure de Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) et d’imaginer, à terme, la création de 4 à 500 logements neufs.

Logements

« Ces études nous ont permis d’isoler une partie centrale difficilement constructible », ont expliqué les élus du Val de Fensch et techniciens en charge du projet. Restent cependant 18 hectares, situés notamment sur la partie nord de la zone sur le ban d’Algrange susceptibles d’accueillir des projets immobiliers. « L’objectif est d’y créer des logements pour tous », insiste Michel Liebgott, président du Val de Fensch. Le projet comprendra une part de logements sociaux mais aussi adaptés aux personnes âgées et pourrait s’inscrire dans une démarche de labellisation Écoquartier.

Après des travaux de dépollution et de sécurisation du site, d’ores et déjà réalisés pour 1,2 M € TTC, la procédure de création de la ZAC est aujourd’hui lancée. La phase de concertation publique débute la semaine prochaine ( lire ci-dessous ), les élus devront ensuite adopter le périmètre exact du projet et déterminer le mode de gestion de la concession d’aménagement.

En clair, les premiers coups de pelleteuses sont espérés en 2018.

Commerce

Si l’objectif de la ZAC de la Paix est d’abord résidentiel, un projet commercial pourrait y voir le jour dès l’an prochain. Pour s’agrandir, l’enseigne Super U, actuellement située route de Knutange, va déménager sur la ZAC de la Paix. La société y a déjà acquis 4 hectares de terrain (pour 356 000 €) au niveau de l’ancienne "plateforme Vavin" côté sud de la zone (à proximité de Nilvange).

Nomades

Depuis plus de vingt ans, des familles nomades sont sédentarisées sur le site de la Paix. Leur relogement est aussi un préalable à l’aménagement de la zone. En partenariat avec l’Office Public de l’Habitat de Thionville, vingt pavillons adaptés doivent être construits pour permettre le relogement de ces familles sur la partie sud du site. Ces constructions, bien distinctes de l’aire d’accueil des gens du voyage Lola-Flores créée en 2009, pourraient sortir de terre dès 2017.

Miscanthus giganteus

Une partie des six hectares de la zone centrale - non constructible - permettra la mise en œuvre d’un projet de recherche porté par l’IUT de Thionville-Yutz autour du Miscanthus X giganteus, une plante notamment capable de dépolluer les sols. Le Miscanthus X giganteus a aussi un fort potentiel de biomasse (pouvant être utilisé comme source d’énergie). Dès cette année, des plantations tests pourront ainsi prendre place sur le site.

Lucie BOUVAREL.

Etude financière et géotechnique de l'aménagement du site ou il y avait la SMK.

La présentation du Val de Fensch est très complète, la morphologie des lieux, les pollutions , les remblais , les zones dangereuses ou inconstructible etc etc etc et surtout le coût global.

L'ensemble du site est de gestion uniquement Val de Fensch communauté d'agglomération.

120105 présentation etude géotechnique copil 5.01.12 from Denis Cusset

Pour mémoire un ancien article du RL concernant ce site

Quelques photos du site à travers le temps

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Published by Denis - dans la politique -de tout un peu...
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22 novembre 2020 7 22 /11 /novembre /2020 11:18

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 22 11 2020

On en entendait plus parler depuis un petit moment, et là pouf, des infos, nous sommes dans l'éclairage final et comme en plus notre maire (Peron) est cité dans l'article comme le chevalier blanc...

Article du RL

Atteinte à la liberté des marchés publics : l’ex-directeur du Seaff devant le tribunal

Trop souvent favorables aux mêmes entreprises, les appels d’offres du Syndicat intercommunal des eaux de Fontoy-Fensch ont fini par interpeller la justice. L’ancien directeur et un responsable de société de maîtrise d’œuvre seront jugés ce lundi à Thionville pour atteinte à la liberté des marchés publics.

Par Lucie BOUVAREL

Automne 2017, le Syndicat des eaux Fontoy-Fensch (Seaff) vit une fin d’année agitée. Depuis des mois, des courriers anonymes circulent, pointant diverses malversations supposées dans la gestion du syndicat intercommunal. Le Seaff est en charge des réseaux d’eau et d’assainissement pour 24 communes, en Moselle et Meurthe-et-Moselle.

Au-delà des règlements de comptes et de l’ambiance délétère au sein des services du syndicat révélée par ces courriers et rumeurs, le détail des appels d’offres de maîtrise d’œuvre, quasi systématiquement attribués aux deux mêmes entreprises, interpelle les autorités. Le maire d’Algrange, Patrick Peron, va notamment s’en inquiéter auprès du préfet et du sous-préfet. Une enquête judiciaire est menée durant plusieurs mois.

À l’issue de ces investigations, Gilles Mordenti, directeur général du Seaff jusqu’en 2018, a été mis en examen pour « atteinte à la liberté d’accès ou à l’égalité des candidats dans les marchés publics ». Des faits récurrents relevés pour différents marchés entre 2012 et 2014. Le responsable de plusieurs bureaux d’études et assistance à maîtrise d’œuvre associés est également prévenu de « recel de biens provenant d’atteinte à la liberté d’accès ou à l’égalité des candidats dans les marchés publics ».

Les deux prévenus seront jugés devant le tribunal correctionnel de Thionville ce lundi 23 novembre.

Le syndicat, dont l’efficacité technique n’est pas remise en cause , serait la victime directe des faits jugés. La structure, dont le comité vient d’être renouvelé a, depuis, mené un audit interne et annoncé des mesures visant à assurer un fonctionnement plus transparent.

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 17 11 18

Article du RL fort intéressant. On n'entend plus personne sur le sujet.....

Fontoy : le Seaff s’achète une conduite

Victime de courriers anonymes, mis en cause pour sa gestion et sous le coup d’une enquête judiciaire l’an passé, le Seaff veut tourner la page. Fort d’un audit interne, le syndicat des eaux promet un fonctionnement plus transparent.

La tempête est passée, le malaise va s’apaiser. C’est en tout cas ce que voulait afficher, jeudi soir, Daniel Matergia, président du Seaff. Le syndicat des eaux de Fontoy - Vallée de la Fensch a, en effet, été sérieusement bousculé depuis deux ans. De multiples courriers anonymes ont dénoncé la gestion de la structure par l’ancien directeur général. Une enquête judiciaire (toujours en cours) a été ouverte. Ces remous ont conduit le conseil syndical à engager également un audit sur l’organisation interne et la gestion des ressources humaines. Le rapport d’audit, confié au cabinet KPMG, vient d’être soumis aux élus représentant les vingt-quatre communes adhérentes. Il sera présenté au personnel dans les prochains jours.

Basé sur des entretiens menés avec l’ensemble des soixante et un agents du syndicat et sur des questionnaires anonymes, le rapport pointe les forces et faiblesses de l’organisation et les pistes d’amélioration possibles.

Sentiment d’iniquité

Au titre des faiblesses, une ambiance de travail dégradée et conflictuelle, un « sentiment » d’iniquité est notamment mis en avant. Mais « notre force est d’être un syndicat connu et apprécié pour son sens du service public » a préféré souligner le président, reconnaissant toutefois la nécessité de faire évoluer le management et « un petit manque d’organisation. » Daniel Matergia a surtout insisté : « Nous avons fourni tous les documents demandés […] On est dans la légalité. »

Sans commentaires

La présentation de ce rapport n’a amené que très peu de commentaires de la part de l’ensemble des élus, si ce n’est la satisfaction de voir « les choses mises à plat. »

Suite à cet audit, plusieurs mesures visant à assurer un fonctionnement plus transparent vont toutefois être mises en œuvre.

Une commission d’embauche va être créée. « Nous éviterons ainsi tout grief d’opacité », insiste Daniel Matergia. Cette commission devra être opérationnelle rapidement, le syndicat prévoit en effet l’embauche d’un ingénieur et directeur technique. « Un appui nécessaire. qui devrait nous permettre de réinternaliser certaines tâches ». Le syndicat va aussi mettre en œuvre de nouvelles procédures pour encadrer notamment les conditions d’attribution des logements ou véhicules de fonction, le partage des astreintes, etc. « Autant de points sur lesquels il y a eu beaucoup de fantasmes », assure le président. « On a changé de directeur général, une page s’est tournée. »

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 04 03 18

Apparemment cela devient: "je n'en fais pas parti, laissez moi tranquille"

Tout semble se passer entre le maire d'Algrange et le Maire de Sancy dans le cadre du SEAFF....Tous les autres élus restent muets sur le sujet, est ce un signe ????

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 22 11 2020

On attend la suite, mais pour l'instant voici le dernier jus du RL....pour les écrits sur les réeaux sociaux et autres on est tellement dans le non dit ....:

Fontoy-Vallée de la Fensch Trous dans la caisse de l’amicale : le SEAFF met les points sur les i

Réuni jeudi soir, le comité du Syndicat eau et assainissement de Fontoy - Vallée de la Fensch (Seaff), a redit sa volonté de laver son honneur, après la série de courriers anonymes le mettant en cause. Le syndicat se dit victime d’un acharnement et appelle à la vigilance.

Qui en veut au Seaff ? Et pourquoi ? Pour l’instant, ces questions restent sans réponse. Le Syndicat eau et assainissement de Fontoy - Vallée de la Fensch finira peut-être un jour par remonter la piste de ces courriers anonymes qui tentent de le déstabiliser. Mais pour le moment, la priorité est de redorer son image. On lavera son linge sale en famille plus tard.

Son ancien secrétaire général Gilles Mordenti, dont la fille Angélique Brémont a pris la succession sans que personne n’y trouve à redire en interne, a d’abord été mis en cause par des courriers anonymes en novembre 2017. Puis la semaine dernière, c’est l’amicale du personnel, commun au Seaff et au SFL (Syndicat fensch lorraine), qui était incriminée. 8 600 € de la caisse (partiellement remboursés) auraient été dépensés à des fins irrégulières - mission au Vietnam, Relais Château, prêts individuels -, alors qu’il manquerait 2 450 € dans la caisse de la billetterie. Du coup, le Seaff, principal financeur, a décidé de ne plus lui verser sa subvention annuelle de 57 000 €.

« On a respecté notre rôle »

Reste que l’image du syndicat en a pris un coup vu de l’extérieur. Même si, concrètement, il n’a pas grand-chose à se reprocher dans cette histoire.

Réuni jeudi soir, le comité a redit son agacement d’être mêlé à l’affaire. Son président, Daniel Matergia, a tenu à rassurer l’assemblée. Il a réaffirmé ce qu’il avait indiqué dans nos colonnes, vendredi dernier.

« Je veux être clair. Nos obligations ont été scrupuleusement respectées. L’association est gérée comme n’importe quelle association. Elle a un exécutif et des financeurs : nos deux syndicats (Seaff et SFL). Son action est de favoriser le lien et le rapprochement du personnel. Nos syndicats ne vont pas regarder le choix des actions menées par l’association. On n’a jamais été voir ce qu’il se passait dans le détail. Notre responsabilité, c’est de vérifier que la destination des fonds est conforme à l’objet de l’association. Voilà où s’arrête notre rôle. Il a été respecté. »

Pour le président Matergia, quelqu’un essaye de nuire délibérément au syndicat. La méthode irrite encore plus que le fond. « Il ne faut pas crier au loup avant d’avoir cherché les explications , a-t-il rappelé. Ce que j’observe, c’est que l’audit n’a pas fait l’objet de vérifications. Et on ne peut pas s’appuyer sur un audit tant que l’audit n’a pas réalisé de débat contradictoire. »

Présomption d’innocence

La priorité du comité est désormais d’être blanchi de tout soupçon. Des enquêtes sont en cours, à la fois sur la succession de Gilles Mordenti, mais aussi sur la gestion financière de l’amicale. D’ici là, Daniel Matergia prône la présomption d’innocence. « Il suffit d’un courrier anonyme pour jeter l’opprobre sur quelqu’un. Comme par hasard, ça arrive à la veille d’une fusion. J’appelle à la plus grande vaillance. Respectons ce principe d’innocence. »

Les courriers semblent toutefois avoir entamé la confiance de certains membres du comité. Guy Bonifazzi, vice-président délégué aux Travaux, n’a pas caché ses interrogations sur le fond des dossiers. Mais si la maison Seaff tremble, pour l’instant elle reste debout.

Et la carrément l'on touche à un ancien ministre de la République dont la probité est un exemple:

« Un séjour offert à l’occasion du départ de l’ancien président du SEAFF »

Des irrégularités ont été constatées dans la comptabilité de l’amicale du personnel du Syndicat des eaux et assainissement de Fontoy/vallée de la Fensch (RL du 16/02). Angélique Brémont, actuelle directrice générale des services, et l’ancienne trésorière de l’amicale, Fabienne Keppers, ont cosigné un certificat expliquant notamment la signature d’un chèque de 983,90 € Relais & Châteaux, qui « avait pour objet la commande d’un séjour offert à l’occasion du départ de l’ancien président du Seaff », en l’occurrence Christian Eckert, qui a présidé le syndicat durant une dizaine d’années. Aussi, elles ajoutent : « Le chèque a été signé par inadvertance par Mme Brémont. Mme Keppers a ensuite signé le chèque sans penser que cela poserait de problèmes pour le paiement qui a effectivement été réalisé ». Quant à la somme de 224 € remboursée, elle explique qu’il s’agit d’une autre opération, un remboursement de billetterie non utilisé pour l’entrée au château de Rodemack. Donc, rien à voir avec le séjour…

Un gros point par le RL sur la caisse de l'amicale:

SEAFF : des trous dans la caisse de l’amicale

Déjà mis en cause pour sa gestion, le SEAFF est à nouveau éclaboussé. Cette fois-ci, la dénonciation se fait en interne puisqu’elle vise l’utilisation des fonds de l’amicale du personnel. Les autorités ont été également alertées.

Un nouveau courrier de dénonciation concernant le Syndicat intercommunal Eau et Assainissement de Fontoy, Vallée de la Fensch (SEAFF) a été envoyé aux élus et aux autorités judiciaires et administratives. Cette fois-ci, il s’agit des comptes de l’amicale du personnel, commun au SEAFF et au SFL (Syndicat Fensch Lorraine). Il pose question. Plusieurs irrégularités ont été constatées par le bureau pour une période de plusieurs années, de 2006 à 2015. Un cabinet d’audit a été missionné pour effectuer des vérifications et confirmer les doutes du comité actuel.

Cette nouvelle affaire jette encore un peu plus l’opprobre sur ce syndicat intercommunal pourtant florissant, chargé de la gestion de l’eau dans plusieurs communes de l’arrondissement. Il mène d’ailleurs une politique d’expansion revendiquée, puisqu’une fusion avec d’autres syndicats est en préparation jusqu’au Contrat Rivière Woigot (CRW), ce qui lui permettrait d’étendre son emprise sur le territoire de neuf intercommunalités représentant pas moins de 200 000 habitants entre Moselle et Meurthe-et-Moselle.

L’enquête judiciaire n’est pas terminée

Courant 2016 et 2017, plusieurs courriers anonymes ont dénoncé à la fois la gestion du SEAFF et la mainmise de la famille de l’ancien secrétaire général Gilles Mordenti sur la structure depuis des années, dont les conditions dans lesquelles il a cédé son fauteuil à sa fille, Angélique Brémont. Le jeu de chaises a eu lieu, sans que personne n’y trouve à redire en interne.

Une enquête de la section de recherches a cependant été ouverte et les investigations sont toujours en cours.

En revanche, le parquet de Thionville n’a été saisi d’aucune plainte pour diffamation, comme cela avait pourtant été évoqué à l’encontre de Patrick Peron, maire d’Algrange, qui s’était publiquement inquiété de la gestion du SEAFF. À l’évidence, il avait visé juste et ses détracteurs ont préféré faire profil bas. Sans que cela ne change quoi que ce soit, ceci dit, au comité syndical.

8 600 € manquent dans les caisses

Cette fois-ci, les comptes de l’amicale révèlent de façon chiffrée et précise l’utilisation, à plusieurs reprises, de sommes d’argent qualifiées d’injustifiées. Le préjudice a été estimé à plus de 8600 €, après des remboursements partiels.

Dans ces sommes figurent le financement d’une mission au Vietnam, 6 000 € retirés du compte (en partie remboursés), un Relais et château pour 983 €, un trou dans la caisse de la billetterie pour 2450 € et des prêts individuels jamais remboursés pour 2770 €.

Le nouveau comité privé de subventions

Plus que ces montants, c’est la façon dont ces dépenses ont été engagées depuis le compte de l’amicale qui jette le trouble, puisqu’elles n’ont fait l’objet d’aucune décision, parfois partiellement remboursées sans justification, et même pour l’une réglée par un chèque signé d’une personne qui ne possédait pas le pouvoir de signature…

Du coup, l’amicale du personnel se trouve en fâcheuse situation au niveau des finances. Rien de très surprenant sachant que depuis 2015, et l’élection d’un comité sans doute moins favorable à la direction, la subvention annuelle de 57 000 € n’est plus attribuée, tandis que celle du SFL continuerait d’être versée (6 000 €). Le président Daniel Matergia réclame des documents que l’association assure avoir déjà transmis ou estime ne pas avoir à fournir (relevés de compte, par exemple).

Des exigences qui n’auraient jamais existé par le passé, mais ça, le président le revendique.

Daniel Matergia se pose aussi des questions:

« Qui en veut au syndicat et pourquoi ? »

Interrogé sur les comptes de l’amicale du personnel, le président du SEAFF Daniel Matergia renvoie la balle aux anciens responsables. Il se pose en victime de personnes qui veulent nuire à l’image du syndicat.

Il n’est pas dupe. Dans le contexte actuel, qu’il qualifie lui-même de « délétère », le président du SEAFF, Daniel Matergia, accuse le coup. Mais il se dit « serein ». Tant face aux révélations de l’amicale que de l’enquête judiciaire en cours.

Selon lui, l’arrêt de la subvention à l’amicale s’explique : « Elle tournait en sommeil avec 165 000 € sur les comptes en 2015. Or son objet n’est pas de faire de l’épargne mais d’utiliser l’argent au bénéfice des agents… Puisque je n’avais jamais vu un seul rapport j’ai décidé de tout arrêter tant que ce n’était pas carré et j’ai réclamé une nouvelle convention. Deux feuilles de comptes ne me suffisaient pas, je voulais les extraits bancaires sur un an, des comptes courants et des comptes d’épargne. Apparemment, mes réponses n’ont pas répondu aux attentes… »

Quant à l’audit de l’amicale, le président se dit surpris : « On fait un audit, sans intégrer les trois années de fonctionnement du comité actuel pour avoir une vision complète ? Cela m’interpelle… En trois ans, les 165 000 € ont été dépensés ? » Sur le fond, il attend les réponses aux observations formulées lors de l’audit, de la part des anciens responsables de l’amicale. « La moindre des choses est d’avoir une discussion contradictoire, c’est à eux de donner des réponses ! »

« Sur des allégations on salit le syndicat qui est un très bel outil au service de la population. »

N’ayant pas eu connaissance des courriers envoyés aux vice-présidents et aux autorités, il ne s’est pas exprimé dans le détail. « Mais je ne comprends pas ce qu’on cherche, assure-t-il. Depuis deux ans, il y a un climat délétère au niveau du personnel, c’est pourquoi nous allons mener au premier semestre un audit de personnel. »

Pas sûr que cela s’avère suffisant pour mettre tout le monde d’accord. Et laissons l’enquête aboutir… Maintenant, s’il y a eu des malversations, nous prendrons les mesures qu’il faut en sanctionnant. En attendant, ça me peine car sur des allégations on salit le syndicat qui est un très bel outil au service de la population. Moi, mon rôle est d’assurer un service public aux habitants, de leur procurer une eau irréprochable et le moins cher possible. La situation du personnel est exceptionnelle et c’est aussi grâce au directeur général des services. Donc je suis dubitatif sur les raisons de ces accusations. Et il faut chercher d’où viennent ces bruits, qui ça arrange. Pour moi, tout ceci est très orienté. Des gens ne cessent d’attaquer l’image du SEAFF, il doit bien y avoir une raison. Est-ce à cause de crispations autour d’un homme ? Est-ce que lque chose de plus structuré ? »

O.S.

le RL dans un billet s'interroge le 16 02 18, un maire qui téléphone anonymement (ben on sait qu'il est déja maire):

Règlement de compte

Un maire qui téléphone anonymement pour introduire un porteur de courrier qui ne donne pas son nom mais remet une enveloppe contenant de nouvelles révélations sur le SEAFF… Drôle d’ambiance ! Depuis des mois, ça sent le gros règlement de compte mais les acteurs se cachent, laissant la bizarre impression qu’ils en savent tous beaucoup plus qu’ils n’en disent. Lors des réunions, c’est à fleuret moucheté que les coups sont échangés. Et quand ça gronde, il n’y a finalement rien derrière… aucune plainte.

Il faudra pourtant crever l’abcès. Soit reconnaître que les coups sont exagérés, voire montés de toutes pièces. Soit assumer. Car il s’agit quand même d’argent public et les gens ont le droit d’être rassurés sur l’utilisation de l’argent qui leur est prélevé ! À ce titre, le manque de curiosité des autorités préfectorales intrigue. Ce silence autorise d’en rajouter à la polémique, mais aussi de continuer comme si de rien n’était.

Or, de deux choses l’une : soit le SEAFF fonctionne honnêtement et il est néfaste d’engager d’importantes fusions dans un climat malsain. Soit il y a des fautes, et il faut les corriger d’urgence avant qu’elles ne se répercutent à grande échelle, jusqu’à devenir hors de contrôle.

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 10 12 17

Aujourd'hui article dans le RL sur le SEAFF et ou l'on voit que la posture de certain change en fonction de l'endroit ou il se trouve.....

une phrase de l'article résume bien la situation :"...les élus sont restés extrêmement prudents dans les interrogations portées.".

Une autre phrase est aussi rassurante :"...chacun s’accordant pour souligner l’efficacité technique et le service public rendu par le syndicat (prix de l’eau maîtrisé, rendements supérieurs à la moyenne…)...

En attendant l'article du RL de ce jour éclaire bien sur la situation, les rapports de force, les belligérants et les actions en cours.

l'article du rl de ce jour

le texte du RL en clair:

Seaff : débat en eaux troubles dans la Fensch

Le syndicat des eaux de Fontoy envisage une fusion d’ampleur avec ses voisins Fensch Lorraine et Contrat Rivière Woigot, mais le débat est plombé par les questionnements et les rumeurs alors que la gestion du Seaff fait l’objet d’une enquête judiciaire.

On va pas se la cacher, y’a quand même un problème… » Francis Langlois, adjoint au maire de Hayange, sera le premier à mettre les pieds dans le plat. L’ambiance autour du Seaff, syndicats des eaux de Fontoy Vallée de la Fensch, est lourde. Depuis plus d’un an, courriers anonymes et rumeurs circulent dénonçant de supposés abus de bien sociaux ou encore une gestion très "familiale" des ressources humaines du syndicat ( RL du 4 novembre ). En coulisses, les élus s’interrogent. De quoi plomber le débat sur la fusion envisagée du Seaff et des syndicats voisins Fensch-Lorraine et Contrat Rivière Woigot ( lire par ailleurs ). Une réunion informelle provoquée ce vendredi soir avec les élus des vingt-quatre communes membres en Moselle et Meurthe-et-Moselle, devait permettre de crever l’abcès. Mais chacun s’accordant pour souligner l’efficacité technique et le service public rendu par le syndicat (prix de l’eau maîtrisé, rendements supérieurs à la moyenne…), les élus sont restés extrêmement prudents dans les interrogations portées.

« Climat lourd, ambiance délétère, attaques contre le syndicat… Je tiens à en parler », assume finalement Daniel Matergia. Sans cacher sa « tristesse » et un énervement certain de voir ces affaires évoquées publiquement, le président du Seaff apportera bien sa réponse aux questions jusqu’alors évoquée à demi-mot.

Premier point sensible, la gestion du personnel au sein du syndicat. L’embauche récente de la fille du directeur général pour succéder à son père, lui-même resté chargé de mission, a fait grincer bien des dents. Mais Daniel Matergia assume. « Elle a les diplômes, elle a les compétences… L’embauche reste de la responsabilité du président et l’on travaille avec qui l’on a confiance. » Il ne manque pas de souligner que, à une abstention prêt, le bureau du Seaff a conforté ce choix. « En politique il y a le droit et la morale… », souffle tout de même Patrick Peron, maire d’Algrange. Pour couper court aux allégations, le président a surtout annoncé qu’un audit serait lancé sur la gestion des ressources humaines.

Une enquête en cours

Plus délicat encore, Daniel Matergia a bien confirmé qu’une enquête judiciaire était en cours concernant notamment l’attribution des marchés publics. « Il n’y a pas lieu de commenter mais je suis tout à fait serein », insiste-t-il ne manquant pas de rappeler que le Seaff, et le personnel nommément mis en cause dans les courriers anonymes, avaient également porté plainte pour diffamation. « C’est la première fois que je vois un outil qui fonctionne attaqué de cette manière. Il faudra bien se demander le pourquoi de ces attaques… » En attendant que l’enquête en cours apporte une réponse.

Pendant ce temps là chacun reçois sa facture d'eau .........tandis que ça se chicane encore entre les politiques....chacun regardant la paille dans l’œil du voisin ! L'histoire démontre aussi que de se draper dans l'étoffe de la vertu amène toujours un gros retour de bâton....Fillon en est le meilleur exemple.

Continuons à suivre le feuilleton et la suite au prochain épisode.

La déclaration sur FB de Peron Patrick (in extenso) sur sa vision de la réunion du SEAFF:

SEAFF.

Hier soir réunion à Fontoy pour discuter d'une fusion du SEAFF avec un syndicat du secteur de Briey.
Une étude est en cours. Attendons les conclusions.

Ensuite le président du SEAFF, maire PS de Sancy, a commenté les "affaires" qui secouent ce syndicat.
Il s'en est pris à la presse qui use de sa liberté pour informer.
Il s'en prend au maire d'Algrange pour oser chercher la vérité. Me voilà menacé de dépôt de plainte.

En dehors de faire dépenser de l'argent en frais d'avocat, quel juge peut condamner la vérité ?
Ces menaces ne font que renforcer ma détermination. L'intimidation, je n'y suis pas sensible, au contaire.
Par contre, je n'exclue pas de donner l'information complète à la population par voie de tracts.

Si le président du SEAFF cherche l'épreuve de force, il se pourrait que sa démission soit la seule solution pour qu'enfin, la morale triomphe car il défend ce système.
Faut-il rappeler que nous parlons d'argent public ?

En préalable il y a eu aussi un article d'Olivier Simon dans le RL ,

SEAFF : stop ou encore ?

L’eau de la Fensch fait des bulles. Des gaziers œuvrent en sous-sol et ça fait des mois que le syndicat des eaux SEAFF alimente les conversations. Plusieurs courriers anonymes très renseignés circulent, détaillant les affaires financières, les attributions des marchés publics ou encore la gestion des ressources humaines…

L’eau s’est troublée davantage quand le maire d’Algrange, Patrick Peron, a confié sur les réseaux sociaux ses interrogations sur la gestion du syndicat, puis a décidé d’alerter officiellement le sous-préfet. Depuis, il a réitéré, pestant contre ses collègues élus qui auraient un peu de mal à étaler quelques vérités sur la place publique. Et pourquoi pas ? Le contribuable n’aurait pas le droit de savoir ?

En fait, Peron n’est pas isolé. Plusieurs maires mènent une fronde en conciliabules. Il est question de demander la mise sous tutelle du SEAFF, de lever des non-dits sur une enquête judiciaire en cours, de demander des comptes sur les pratiques, sur les routes, les voitures de service, les embauches, les primes, etc. Bref, il y a un besoin de transparence. Tant mieux, car les élus se retrouvent justement ce soir en conseil syndical pour avaliser la fusion avec le voisin du Woigot Briey. C’est un mariage. Si quelqu’un est contre, qu’il s’exprime… ou se taise à jamais.

Olivier SIMON.

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 07 11 17

C'est régulier que dans la vallée de la Fensch les extrêmes se rejoignent....mimétisme ? Philosophie commune ?

En attendant, l'ensemble des autres maires et opposition (ils ne laisseraient pas passer cette occasion) ne s'expriment pas sur le sujet, un signe ???

Attendons la suite....

Petits meurtres entre amis....enfin presque

Gros article sur la gestion du SEAFF ce matin dans le RL. Cela ressemble clairement à un début de règlement de compte.

Je pense que sous peu il y aura une réponse du berger à la bergère car dans le monde de la politique personne n'est blanc comme neige!

Au sein du PS local (la personne visée en est un ponte) ils y en a qui bouffent leur chapeau en avalant des couleuvres . Afin de garder leurs places rémunérées ils ne peuvent pas faire autrement que de laisser faire en se disant "ouf ce n'est pas de moi dont l'on parle !".

l'article du RL qui vaut son pesant de cacahuètes...en attendant le prochain qui sera surement une réponse.

Les affaires de famille du syndicat des eaux Fontoy-Vallée de la Fensch

Le fonctionnement du syndicat des eaux de Fontoy interpelle, et amène un maire à alerter l’autorité préfectorale sur des doutes concernant les marchés publics et une gestion du personnel un peu trop… familiale.

Le sous-préfet de Thionville a été alerté par courrier sur le fonctionnement du syndicat des eaux de Fontoy, Vallée de la Fensch (Seaff) qui distribue l’eau et gère l’assainissement de vingt-quatre communes en Moselle et Meurthe-et-Moselle. Dans sa missive, le maire d’Algrange, Patrick Peron, s’interroge sur les marchés publics et la gestion du personnel et demande au sous-préfet de « mettre les pieds dans le plat ».

Un esprit de suspicion entoure le Seaff depuis plusieurs mois, depuis un courrier anonyme dénonçant toute une série de supposés abus de biens sociaux et soupçons de favoritisme. Une enquête judiciaire est en cours. Le Seaff a également porté plainte, pour diffamation. Les maires s’agitent. La rumeur bruisse, chacun y va de ses anecdotes et autres bizarreries, mais personne n’avait jusque-là pris publiquement la parole.

Désormais, c’est fait. Patrick Peron s’étonne : « Deux sociétés raflent tous les marchés depuis vingt-cinq ans. En dix ans de gestion municipale, je n’ai jamais connu pareille situation. La concurrence joue à plein. Il est rare de voir des entreprises retenues plusieurs fois de suite. Il y a de quoi s’interroger. »

Quant aux affaires internes, il apprécie peu que le directeur général des services, Gilles Mordanti, fasse embaucher ses enfants et son gendre, puis cède son confortable fauteuil à l’une de ses filles hors de toute procédure de recrutement. « Cerise sur le gâteau, il se crée un poste de chargé de mission », ajoute Patrick Peron, qui note au passage que l’intéressé est conseiller municipal dans la même commune où le président, Daniel Matergia, est maire, à Sancy (54)… Il évoque aussi le marché de la communication « qui serait attribué à un autre gendre du DGS ».

La responsabilité du président

En réponse, Daniel Matergia réfute tout favoritisme : « Ces entreprises ont toujours été les moins-disantes. Je suis serein et si le sous-préfet veut vérifier, nous tenons tous les documents à sa disposition. Tout est conforme et transparent ». Au passage, il livre une petite pique « au délégué de la commune d’Algrange qui siège à la commission des appels d’offres et n’a jamais trouvé à y redire ». De toute façon, le sous-préfet ne semble pas vraiment avoir l’intention de s’y intéresser et répond pour le moment sur la forme uniquement, arguant « ne pas disposer des délibérations sur lesquelles se prononcer ».

Quant à la famille Mordanti, Daniel Matergia confirme : « Effectivement, c’est de ma responsabilité de président. Je le fais car nous savons que nous allons fusionner avec les syndicats Fensch Lorraine et du Woigot au 1er janvier 2020. C’est un gros travail et Gilles Mordanti a souhaité se mettre en retrait pour s’y consacrer, ce qui permettra à sa fille d’avoir toutes ses chances lorsque nous lancerons une procédure d’appel à candidature pour le syndicat fusionné. Elle a les diplômes, elle est fonctionnaire au grade d’attachée principale et elle connaît parfaitement le fonctionnement du syndicat. » Il admet s’être posé quelques questions sur l’aspect moral de l’opération. Mais ses doutes ont été vite balayés : « Au bureau, tout le monde a reconnu ses compétences et n’y a vu aucune objection ». À l’évidence, les maires sont plus sceptiques.

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6 septembre 2020 7 06 /09 /septembre /2020 14:51

Petit crayons Algrangeois pour Vlad III

Surement un message subliminal entre la majorité et l'opposition Algrangeoise....

Je suis quand même très surpris qu'une partie de l’opposition se plaignent de ce qu'ils trouvaient absolument normal lorsqu'ils étaient dans la majorité !!!!

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22 juillet 2020 3 22 /07 /juillet /2020 10:00

Algrange municipales 2020 recours et résultat

Les résultats du recours des différentes listes ayant perdu sont tombés...déboutés!

Faut dire qu'avec plus de 300 voix d'écarts (voir plus bas le résultats des urnes) et non pas 23 comme annoncé par l'opposition le jugement laissait peu de doute....

Cependant j'ai essayé de comprendre d’où venait ces 23 voix annoncées . Sachant qu’il y avait 1738 votants exprimés la majorité est à 50%+1 voix...calculons....ce qui fait que la majorité absolu est à 869 voix+1 voix soit 870 voix...Le groupe PP a fait 891 voix ce qui fait...gling gling (c'est le bruit de mon boulier)....21 voix. Donc majorité absolu au premier tour pour 21 voix....bon je ne sais toujours pas d'ou viennent les 23 voix citées par l'opposition. Imaginons qu'il y ai eu un second tour, même dans ce cas là PP l'aurait emporté avec peut être un élu de moins mais pas plus en étant le premier des 3 candidats (il aurait eu 50% des postes +le prorata sur l'autre 50%)....mais plus surement avec quelques élus de plus car l'opposition aurait perdu des plumes dans une union (en politique 1+1 ça ne fait pas 2).

L'annonce du jugement par la majorité puis par l'opposition.

Notez bien que voici quelques mois les groupes d'oppositions avaient annoncé qu'ils indiqueraient la teneur des faits qui justifiaient leurs recours, toujours rien vu sur le sujet, la population attend aussi je pense.

Groupe majoritaire (Peron):

Mauvais perdants.

Nos adversaires des 2 listes n'ont pas accepté le vote des Algrangeois. Ils ont déposé des recours en annulation des élections municipales au tribunal administratif de Strasbourg.

Leurs arguments tenaient surtout de la mauvaise foi et de la démagogie. Ils nous reprochaient des actes qu'ils avaient votés avec nous lorsqu'ils étaient dans la majorité.

Quant à la liste qui est arrivée dernière, leurs arguments prêtent à sourire.

La justice n'est pas aveugle et la vérité est rétablie, les recours rejetés.

Le vote des Algrangeois est respecté. Maintenant, ils attendront 2026.

Groupe d'opposition (Cerbai)

Le recours contre les élections n’a pas abouti le juge estimant l’écart de voix trop important. Pourtant la liste Algrange plus loin avec vous n'a remporté l’élection que de 23 voix. Mais le juge est resté sur une analyse d’un écart de voix entre chaque liste et n’a donc pas retenu toutes les irrégularités.

Nous nous y attendions même si nous ne trouvons pas ça normal.

Notre action aura toujours à cœur de lutter contre toutes les injustices et de dénoncer tout dysfonctionnement car notre priorité restera toujours la transparence, l’équité, l’égalité pour défendre l’intérêt de nos concitoyens.

Groupe d'opposition (Adiamini)

Un beau déni de démocratie de la part des juges , pourquoi des lois , si elles sont bafouées. Malheureusement on a beaucoup d’exemples dans notre pays

Algrange municipales 2020 résultats

Ben j'étais pas loin dans mes pronos....

*** AVIS A LA POPULATION ***

Voici les résultats tant attendus des élections municipales

Avec 51,27% des voies, M Peron et sa liste "Plus loin avec vous" remporte l'élection municipale au 1er tour et obtient la majorité de 22 sièges sur 29 au conseil municipal. Ainsi que 4 sièges au conseil communautaire.
Viennent ensuite M. Cerbai et M. Adiamini avec respectivement 33,89% (soit 5 sièges au CM et 1 siège à la CAVF) et 14,84% (soit 2 sièges au CM et 0 siège à la CAVF).
La municipalité remercie les Algrangeois et les Algrangeoises de s'être déplacé, moins nombreux certes, malgré la présence de dispositifs sanitaires renforcés et l'inquiétude qu'elle génère.
Le taux de votants à Algrange était de 43,48%.

Algrange municipales 2020 recours et résultat

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SMITU et horaires des bus au 19 02 2021

La gratuité à terme

1. Les communes de la CCCE ne ferment pas la porte

2. Le financement de Citézen dévoilé

3. Un geste commercial pour les usagers

4. Le retour au réseau le 22 février

5. Une 3e voie vers le Luxembourg à l’étude

Tensions vives

Encore 3 semaines d'attente

Problèmes non résolus

La suppression d’une vingtaine de lignes scolaires passe mal dans la Vallée. Alors qu’une pétition appelant au rétablissement de ces bus circule, le Smitu fait le point sur la nouvelle organisation.

Debout 5 h 30, retour à la maison après 18 h. Voilà ce qui attend certains élèves de la Vallée de la Fensch. La raison ? La suppression de bus scolaires par le Smitu. Les parents sont en colère.

Élu mardi soir président du Smitu avec deux tiers des voix de l’assemblée (32 voix sur 50 votants), le Thionvillois Roger Schreiber a conscience de l’immense chantier qui l’attend. « On y arrivera tous ensemble », martèle-t-il.

Jean-Louis Hissette, 37 ans, est salarié chez Trans Fensch depuis dix ans. Il a décidé de prendre la parole, sans filtre, pour évoquer le mal-être dans l’entreprise. Et asséner quelques vérités au passage.

Les problèmes économiques de la Transfensch ont contraint le Smitu à stopper l’exploitation de plusieurs lignes du réseau Citéline. Un choix préjudiciable pour les lycéens Algrangeois et Boulangeois qui vont devoir s’adapter. Les parents d’élèves fulminent.

Le président du Smitu, Jean-Marie Mizzon, justifie la décision de supprimer des lignes par souci d’économie, et avec la volonté de pérenniser les emplois chez Transfensch.

ZAC de la Paix aménagement par le Val de Fensch et site de la Paix Algrange centre MaJ 21 12 2020

Le chantier de la Zac de la Paix se poursuit à Algrange. La phase de dépollution des sols durera encore trois ou quatre semaines. Pour éliminer les hydrocarbures, les ingénieurs utilisent une technique 100 % naturelle : le landfarming.

Une centaine de logements neufs en préparation à la mine Sainte-Barbe

547 logements neufs sur la zone de la Paix

Un rêve qui tourne parfois au cauchemar

SEAFF Petits meurtres entre amis....enfin presque suite au 22 11 2020

Victime de courriers anonymes, mis en cause pour sa gestion et sous le coup d’une enquête judiciaire l’an passé, le Seaff veut tourner la page. Fort d’un audit interne, le syndicat des eaux promet un fonctionnement plus transparent.

Réuni jeudi soir, le comité du Syndicat eau et assainissement de Fontoy - Vallée de la Fensch (Seaff), a redit sa volonté de laver son honneur, après la série de courriers anonymes le mettant en cause. Le syndicat se dit victime d’un acharnement et appelle à la vigilance.

Déjà mis en cause pour sa gestion, le SEAFF est à nouveau éclaboussé. Cette fois-ci, la dénonciation se fait en interne puisqu’elle vise l’utilisation des fonds de l’amicale du personnel. Les autorités ont été également alertées.

Interrogé sur les comptes de l’amicale du personnel, le président du SEAFF Daniel Matergia renvoie la balle aux anciens responsables. Il se pose en victime de personnes qui veulent nuire à l’image du syndicat.

Le syndicat des eaux de Fontoy envisage une fusion d’ampleur avec ses voisins Fensch Lorraine et Contrat Rivière Woigot, mais le débat est plombé par les questionnements et les rumeurs alors que la gestion du Seaff fait l’objet d’une enquête judiciaire.

Le fonctionnement du syndicat des eaux de Fontoy interpelle, et amène un maire à alerter l’autorité préfectorale sur des doutes concernant les marchés publics et une gestion du personnel un peu trop… familiale.

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