Je fais un petit résumé de la commission de l’urbanisme et de l’environnement car j’y ai participé le 22 juin.
Déjà je suis arrivé avec 10mn de retard….retenu au boulot. Donc j’ai loupé le tout début dont la teneur était de faire prendre conscience à chacun des économies d’énergie.
Puis l’on a parlé de l’isolation des bâtiments communaux. J’ai proposé de faire un point des déperditions par photographie infrarouge. Après il y a le choix entre faire intervenir une société privée ou alors de se payer l’appareil qui va bien. Evidemment ce n’est pas donné entre 2000 et 3000 euros le morceau mais à mettre en face de ce que l’appareil nous apportera en terme de diagnostic (pont thermique, tuyaux inversé sur radiateur, mauvaise isolation, etc etc etc).
Il y a aussi la possibilité de se rapprocher des pompiers qui ont ce type de matériel….
Peggy, l’adjointe à l’urbanisme, nous a parlé ensuite de l’éclairage public. Un société pourrait être missionné pour effectuer une étude globale de l’éclairage de la ville. Elle explique qu’il serait possible de reprendre les systèmes d’éclairages pour les rendre plus économique/écologique. La discussion porte ensuite sur la balance entre le coût écologique d’un nouvel éclairage (décharge de l’ancien éclairage, travaux, achat du neuf, énergie et matériaux pour faire cela….) et celui d’entretenir déjà correctement celui qui est en place en faisant l’entretien nécessaire. Peggy nous indique que l’entretien de l’éclairage est à charge du SIVOM.
Le sujet suivant fut celui des économies d’eau.
Patricia , ayant bien géré le festival de l’environnement, n’a pas utilisé la totalité de la somme allouée à celui ci. Peggy propose d’acheter un récupérateur d’eau pour les ateliers avec l’argent restant. Le récupérateur ferait entre 2 et 3 m3. Discussion sur le sujet et il est proposé par les participants à Peggy de voir si la captation de source via une bâche tampon ne serait pas plus « écologiquement rentable ». En effet, s’il ne pleut pas ou pas assez et en connaissant le volume d’eau utilisé journalièrement pour l’arrosage le récupérateur aux ateliers n’aura qu’une utilité très limité.
Tandis qu’une bâche tampon au pied d’une source se remplissant sur 24 h sur 24 permettra de fournir l’eau journalière à l’arrosage des plantes et ceci de manière sûre.
Mari jeanne rebondie sur le sujet des récupérateurs d’eau pour proposer que le VdF effectue la même opération qu’avec les composteurs. C'est-à-dire pouvoir acheter des récupérateurs d’eau de pluie à des tarifs préférentiels.
La société Afialor, à Algrange, présente d’ailleurs des récupérateurs d’eau de pluie très esthétique. Cela peut être intéressant à creuser….
Bon c’est tout pour ce soir, je finirai demain…si j’ai le temps.