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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 22:31

Ca y'est , la campagne officielle pour les européennes est lancée.

Dans toutes les villes de la vallée les panneaux électoraux ont fleuri à qui mieux mieux....sans compter les multiples panneaux d'affichage libre.


Mais à Algrange, que nenni, pas un seul panneau électoral ce lundi alors que la campagne officielle a démarré.

Algrange serait elle devenu une enclave hors de l'Europe ??? L'on ne vote plus à Algrange ??? d'autres priorités que des panneaux qui sont l'expression visible de la démocratie ??? Et les panneaux d'affichage libre un seul sur la ville alors qu'ailleurs....

Oui , je sais, tout le monde s'en moque me dira t'on de cette campagne.....ben pas moi!

Parce que l'Europe, quoiqu'on on dise a permit de vivre en paix depuis 1945 entre européen, une des plus longues périodes de paix en Europe.

Parce que  les futurs élus Européens, ce sont eux qui décideront de notre futur, de la manière dont nous vivrons.

Il faut remettre les citoyens au cœur d’une Europe plus sociale, plus écologique, plus solidaire.



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commentaires

V
<br /> Dont acte et merci pour le compliment, ça fera plaisir à celui qui s'occupe d'instants-fugaces.net.<br /> <br /> <br />
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V
<br /> Manque de panneaux, manque de bol, à Algrange, je vais y remédier immédiatement, voici:<br /> <br /> Au bord de l'étang, quoi! La grenouille gladiateur<br /> <br /> S'étend, s'étend, s'étend, (tous les sept ans?), tantôt grand, tantôt petit, pris, l'un et l'autre, en tant que grandeurs relatives, mais toujours, quoique ad altare dei, en vertu du passé qui le<br /> pose, sans le vouloir, à dire vrai, réellement, devant lui, à la demande, demande, il va de soi, à entendre également comme une offre, et selon le sacrement approprié au cours de la pensée en<br /> mouvement, s'étend, devant lui, lui le « ouayageur », par l'effet d'une prononciation relâchée (laisser-aller? Lassitude?), tendant à intégrer la vaste catégorie, catégorie fourre-tout,<br /> des tisserins, par erreur, heureusement volontaire, traités de voleur, alors que voyeur, en ce qui concerne les tribus d'épieurs-pépieurs, paraît plus approprié, s'étend, à perte de vue (sans quoi,<br /> quel intérêt?), devant le voyageur, voyageur hors-normes, puisqu'il n'est pas question pour lui, à cet instant, d'emprunter d'autre véhicule qu'imaginaire, quand bien même, voyagerait-il<br /> simultanément au volant d'une quat'roues, poète orageux (bruit de tôles) qui veut nuager loin, doit, avant la pluie, dialectiquement surmonter (enfourcher) une catin, combinant le Rêve et l'Action,<br /> ah! Rêve-Action raréfié, oh! Rage, ici, l'artillerie, entre parenthèses, déballe ( ou dévoile) son côté métaphore (comme quoi toute chose a son bon côté, généralement positif), à moins que ce ne<br /> soit la métaphore qui emprunte au canon, sa mesure, toute relative, car la violence, c'est terrible à dire, en ravit plus d'un, et plus la chose est abstraite, plus le ravissement croît, augmente,<br /> adoptant la position du pas en arrière (en avant! On les aura!), s'étend (enfin!), à perte et profit concomitant, le monde.<br /> <br /> Il y a là, on s'en doutait, on sentait venir la chose, comme une odeur de poudre électorale expectorée, des communistes. Des communistes en embuscade. Et encore des communistes. Et toujours des<br /> communistes. De plus en plus de communistes, débordant de partout. Des masses de communistes. Un flot ininterrompu de communistes. Une levée en masse de communistes. Un agrégat monstrueux de<br /> communistes. Un djebel ahmar communiste. Un coran noir communiste. Et alors? Plus de lumière, le froid. Le froid uniquement. Un froid brûlant. Froid à geler l'os. Ni chien, ni canard. Trop<br /> littéraires. Sauf peut-être berger-allemand et de barbarie, remuant la queue, se dandinant, les seuls à pouvoir supporter tout le poids de l'Être sans qu'aucune image de désolation ne pointe, en<br /> eux, un horizon rendu dérisoire. Être littéraire n'implique, en aucune manière, une capacité de fiction, surtout si on a en vue l'espace à remplir. La fiction, au contraire, nie tout espace. Elle<br /> vous arrache l'air de la bouche, quoi! Et au beau milieu des choses mondiales (quoi d'autre?), ouvrant un oeil, un seul, il n'en a qu'un, infinité de gueules en parallèle, le dieu chaos bâille,<br /> baille son maximum d'indifférence. C'est un fin psychologue. Tout ici se résout en un éclair. Mais ce n'est pas tout. Par ce vide et plein, d'oeil et des gueules, l'infini, sphinx de la fin de<br /> toutes les fins renouvelle sa, comme il dit, question: Simone, ouverture, fermeture, en voiture? Sa poésie. Poésie officielle, il va sans dire. Comment peut-on, après ça, ouvrir sa gueule et se<br /> passer sous silence? Mais c'est très simple, en vérité: en vérité! Ce mystère porte un nom: la drôle de guerre. Un alea jacta est grandeur nature. Roman qui fait bon marché du reste qui n'est rien,<br /> à l'entendre.<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Sur le coup je me suis dit "qu'est ce que c'est ce commentaire ???", puis finalement en relisant et en cliquant sur le lien je suis tombé sur un site bien sympa.<br /> <br /> <br />
C
A yé la pose des panneaux à commencée !!<br /> Bande de mauvaises langues<br /> Ils ne savaient plus ou ils etaient entreposés<br /> oufffffffffffff
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C
euh cjc les pannaux des elections locales<br /> me dit po k,ils ont ete revendus.... mdr
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C
En attente de subventionssssssssssss avant achats<br /> En ce moment ils y a d'autres priorités :la fètes de la zizique !!!!!
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